En premier une pensée compatissante pour tous les sinistrés qui ont eu des inondations ; nous avons eu la chance d'avoir un weekend calme !!! 

Pourquoi les petits chats jouent-ils avec des pelotes de laine ?

Les petits chats jouent avec des pelotes de laine parce qu'ils se forment instinctivement à la chasse pour survivre en tant que futurs adultes. Avec une pelote de laine, le chaton saura très vite ensuite parfaitement chasser les souris car son comportement sera assez identique.

Ils doivent donc jouer pour apprendre les comportements qui seront nécessaires dans leur future vie. Il ne faut pas nier aussi le fait qu'ils jouent avec une pelote ou une balle car le jeu est agréable. Plus tard, ils conserveront d'ailleurs ce comportement pour se détendre. 

Pourquoi les animaux n'ont pas de nombril ?

Voyons aujourd'hui la légende de la perce-neige

Le duel de la fée Printemps et de la Sorcière Hiver

Dans les pays d'Europe centrale, le perce-neige est associé à la fête de Martisor, qui est célébré le premier mars en l'honneur du printemps. L'hiver au coin du feu, on raconte que la Sorcière Hiver ne voulait pas céder sa place à la Fée du Printemps. Dans une lutte sans merci, la fée se coupa et une goutte de sang tomba dans la neige. Le sang se transforma instantanément en perce-neige, symbolisant la victoire de la fée... Dans les nombreuses histoires de Martisor, la blancheur virginale de la fleurette est toujours associée au rouge sang de l'amour passionné. Il est d'ailleurs courant dans les pays de l'Est que les hommes offrent à leurs dulcinées des perce-neiges le 1er mars... Parmi les nombreuses histoires de perce-neige, on aime aussi le conte roumain selon lequel Dieu demanda à la neige d'aller quérir une couleur auprès des fleurs. La rose, la violette, le tournesol et l'herbe refusèrent tout net, et seul notre vaillant Galanthus accepta de lui offrir sa blancheur immaculée. En remerciement, la neige l'autorise chaque année à la percer pour fleurir avant les autres...

Comme je serai  absente jusqu'à lundi  je vous laisse une autre légende  

Hyacinte, était un bel adolescent, il était le plus cher compagnon d'Apollon. Alors qu'ils jouaient au palet , leur jeu favori , le disque lancé d'Apollon rata sa cible et atteignit Hyacinthe au front, lui faisant un affreuse blessure. Mortellement pâle, l'adolescent s'écroula. Le Dieu fut saisi d'horreur à la vue du sang qui coulait à flot. Il prit son ami dans ses bras et tenta en vain de le ranimer. La tête du jeune homme retomba comme une fleur dont la tige se serait brisée. Apollon pleura amèrement la mort de tant de jeunesse et de beauté dont il était la cause involontaire .De cette grande douleur allait naitre un prodige :là où le sang coulait , l'herbe se mit à reverdir et une fleur merveilleuse, cramoisie apparut : la Jacinthe

Le pléonasme est une figure de style bien souvent involontaire et que je traque régulièrement dans les manuscrits. Pour juste vous donner un exemple, on n’écrira jamais « monter en haut », car dans le verbe « monter », il y a déjà la notion d’aller en hauteur. D’où l’inutilité du complément qui ne fait qu’alourdir le texte.

• Reporter à une date ultérieure : si on reporte, c’est pour plus tard.

• Prédire à l’avance : prédire signifie anticiper, donc forcément à l’avance.

• Applaudir des deux mains : avec une seule, c’est moins pratique.

• Un bip sonore : je ne connais pas les bips lumineux par exemple.

• Une dune de sable : de quoi d’autre la dune… ? De cailloux ? Ce n’est plus une dune alors.

• La marche à pied : elle est plus fatigante que celle à vélo, je vous l’accorde.

• Mauvais cauchemar : rares sont les cauchemars joyeux.

• Surprendre à l’improviste : quand on est surpris, c’est forcément par surprise !

• Dresser les cheveux sur la tête : a-t-on des cheveux ailleurs ?

• Importer de l’étranger : importer du pays où l’on est déjà, c’est compliqué.

• Hémorragie sanguine : de quoi d’autre peut-on saigner, à part du sang ?

• Un haut building : un building peut être plus petit qu’un autre, certes, mais il reste de toute façon haut.