•              Nouvel an chinois 2017          

     

     

    Signes chinois 2017: Coq de Feu, Année Lunaire Chinoise

    Année 2017 Commence le Samedi 28 Janvier 2017, c'est aujourd'hui le nouvel an! Bonne année, bonne santé, que Bouddha vous offre la bonne fortune !.

    Coq de Feu Coq de Feu

    Le Coq () est le 10e animal du cycle zodiacal chinois.

    On le dit franc, analyste et méthodique. Il s'entend bien avec le Boeuf et le Serpent mais très mal avec le Lièvre 

    Résultat d’images pour les signes chinois du zodiaque 

    Je suis chien  est vous ????

    il pleut des cordes !!!! 


    37 commentaires
  • Pourquoi la ''toile d'araignée'' s'appelle t-elle ainsi ?

     

    La ''toile d'araignée'' porte ce nom tout simplement car le piège de soie, la plupart du temps gluant, que confectionne cet insecte pour capturer ses proies ressemble à une toile grossière de nos tisserands. Comme eux d'ailleurs, suivant les espèces, elles confectionnent les ''points'' et formes les plus variés: Toiles géométriques ou orbiculaires, toiles en hamac, toiles en drap, en entonnoir ou encore toiles-échafaudages. 
       
    Toutes les araignées, pourtant, ne tissent pas de toile, les plus primitives utilisent la soie uniquement pour confectionner des cocons de protection pour leur progéniture. Les qualités mécaniques du matériau sont remarquables puisque 5 fois plus résistant que l'acier et pouvant s'étirer sans dommage de 40% de leur longueur.

     

    Pourquoi dit-on 'bâbord' et 'tribord' ?

     

     

     

    C'est au XVème siècle que le français a emprunté ''bâbord'' et ''tribord'' au néerlandais qui disait ''bakboord'' pour désigner le côté gauche d'un bateau qui est maintenant bâbord en regardant de l'arrière vers l'avant et ''stierboord'' le côté droit pour indiquer le tribord.

    Pour expliquer l'origine de ces deux mots, il faut se rappeler que le gouvernail des navires tel que nous le connaissons aujourd'hui n'a pas toujours existé. Jusqu'au Moyen-Age, le pilote du 
    navire gouvernait avec une godille, sorte de grande rame, fixée au côté droit du bateau et tournait ainsi le dos au côté gauche.4

    Alors, pourquoi ''bâbord ou bakboord'' et ''tribord ou stierboord'' ? Tout simplement parce qu'en vieux néerlandais ''stierboord'' c'est le côté du gouvernail, c-à-d tribord ; ''bakboord'' cest-à-d bâbord, c'est le côté qu'on a dans le dos. En effet ''stierboord'' tribord et ''bakboord'' bâbord sont composés tous deux de ''boord'' qui a son origine dans de très vieux parlers germaniques d'où nous arrivent aujourd'hui l'allemand ''Bord'', l'anglais ''board'' et le français ''bord''. C'est à l'origine un terme de marine qui désigne le bord du bateau (voir aussi : le bordage du navire, monter à bord, aller à l'abordage...).

    Le mot ''stier'' dans ''stierboord'' ( tribord ) provient aussi des vieux parlers germaniques et désigne simplement le gouvernail (''Steuer'' en allemand d'aujourd'hui).
    Enfin le mot ''bak'' dans ''bakboord'' (bâbord ) est toujours d'origine germanique et n'est rien d'autre que le dos (que l'on retrouve aujourd'hui dans l'anglais ''back''), c'est-à-dire ce que le pilote a dans le dos.



    Et pourquoi demanderez-vous un accent circonflexe à ''bâbord'' ? Simplement parce qu'au XVIIème siècle, le français a fait la confusion entre ''babord'' et ''bas-bord'', c'est-à-dire le bord inférieur. Lorsqu'au XVIIIème siècle on a retrouvé le mot d'origine, le ''s'' a disparu, mais son souvenir s'est conservé dans l'accent circonflexe !

    Pourquoi dit-on ''Maitre'' à un avocat ?

     

    Simplement parce qu'ils ont une Maîtrise en droit ! 
    Curieusement on a gardé ce titre uniquement pour les avocats alors qu'on peut appeler Maître tout ceux qui ont une maîtrise (économie, histoire...). 
    Idem pour le doctorat, on appelle uniquement ''Docteur'' les médecins (docteurs en médecine), alors que tout ceux qui ont un doctorat devraient être appelés ''Docteur''. Comme aux USA.
                           
     
            Pourquoi dit-on 40 ou 50 ''balais'' ?
             
    Cela remonte à une vieille tradition auvergnate qui consistait à accrocher autant de balais que d'années de vieillesse derrière sa voiture lorsqu'on se mariait : l'expression est restée pour comptabiliser l'âge des gens.     

     

    Pourquoi dit-on ''chut'' pour faire taire ?
     
    On dit ''chut'' pour inviter ou imposer le silence car ce terme est la transcription phonétique du faible bruit de fond que produit un murmure. En langue française, il s'agit d'une onomatopée, catégorie de mots sensée reproduire le bruit caractéristique généralement associé à un évènement, un objet, un animal ou un être humain.

    Le langage courant les utilise en routine, comme ''crac'' pour le bruit d'une branche coupée, ''piou-piou'' ou ''cui-cui'' pour évoquer le pépiement d'oiseaux ou encore ''pan'' pour illustrer le son d'un coup de feu. La BD, notamment américaine est pour beaucoup dans le développement de ce mode d'expression, en faisant même quelquefois les seuls textes de l'histoire. Par ailleurs, l'orthographe de ces interjections est toujours invariable.

    Pour l'instant le soleil est prévu   ...................  

         


    31 commentaires
  • Agatha, née en 1890, commence très tôt sa carrière d’écrivain ! Depuis qu’elle a appris à écrire, elle écrit, tout simplement. Cela a toujours été quelque chose extrêmement naturel pour elle. Elle n’a cependant jamais été véritablement encouragée par sa mère, très conservatrice, qui percevait cette activité comme superflue. Issue d’une bonne famille anglaise, pas forcément nantie mais ayant tout de même une rente assez élevée pour que son père n’ai pas besoin de travailler, Agatha n’a pas le droit d’aller à l’école.

    Pour sa mère, trop de culture pour une jeune fille était néfaste ! Elle est cependant encouragée par son père qui lui prête de nombreux livres et qui engage dès son plus jeune âge des discussions littéraires avec elle.

    Les jeunes années d’Agatha sont plutôt paisibles. L’approche de la Première Guerre Mondiale assombrit tout de même les jours heureux qu’elle coule dans la propriété familiale du Devon… En effet, le manoir est réquisitionné par l’armée pour accueillir les gradés (étant donné que l’armée a ravagé et détruit nombre de bâtiments après son passage, héberger des gradés n’est pas le sort le moins enviable).

                           

    Elle se marie en 1914, après une courte relation avec son futur mari, Archibald Christie, pilote de l’armée de l’air. Elle se porte volontaire pour être infirmière dans le dispensaire de son village, pour se sentir active et utile pendant la guerre. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la période de guerre n’est pas pour elle une période sombre, elle est jeune, insouciante, et aime plus que tout son métier d’infirmière, qui est pour elle le métier le plus gratifiant du monde. Elle monte d’ailleurs rapidement en grade et commence à s’occuper de la pharmacie du dispensaire, où elle manie toutes sortes de substances…

    De l’union avec Archibald nait une petite fille, Rosalind.

                 1926          

    Cette période de grâce, où Agatha écrit son premier roman « La mystérieuse affaire de Styles », dans laquelle apparait pour la première fois son célibrissime personnage Hercule Poirot. Leur mariage ne dura cependant pas : en 1926, après des années de séparations, Agatha rompt définitivement, son mari lui avouant qu’il est amoureux d’une autre femme. Ils divorcent en 1928. Agatha ne cesse cependant pas d’écrire. Son second mariage avec l’archéologue Mallowan deux ans après,

    sera une source inépuisable d’inspiration pour elle. Elle effectua de nombreux voyages au Moyen-Orient, écrivant par exemple « Le crime de l’Orient Express »…


    Son inspiration viendra tantôt de ses racines anglaise, où elle décrit une société anglaise conservatrice et bourgeoise, qui n’existe déjà plus et tantôt de ses nombreux voyages… Son expérience médicale de pharmacienne et d’infirmière lui donne de nombreuses bases solides pour décrire les crimes sordides que ce cher Hercule Poirot

     

    (ou même Miss Marple !)

     

    doivent élucider avec leurs petites cellules grises (pour reprendre l’expression chère à notre détective belge aux impressionnantes moustaches)

    elle est morte a 86 ans, elle écrivait a raison d’un livre par an !

    Vingt ans après son décès, Agatha Christie reste une des écrivains de romans policiers les plus connus, nous enchantent encore avec cette ambiance britannique mystérieuse et sophistiquée ,son humour unique et ses intrigues insolubles…

    UNE CLE !!!!!!!!!!! ……………………………………………….la clé du mystère pardi et vous en avez vous lu?

     

    HIER à Serrabone chez mes amies  

    AGATHA           AGATHA                                                

     

                                                          


    34 commentaires
  • Quand nous prenons rendez-vous chez notre médecin , préférez- vous un homme ou une femme???  moi c'est un homme.

    Mais quand je pense aux premières qui ont lutté pour obtenir ce droit !!!!!!!!!!!!!!!   regardez

    Madeleine BRÈS née GEBELIN (1842-1921)

    Madeleine Brès

    Madeleine Brès

    Fille d’un artisan nîmois, elle découvre sa vocation en accompagnant son père à l’hôpital où il exerce son métier de fabricant de charrettes. Décidée à devenir médecin, elle se présente au doyen de la Faculté de médecine de Paris, Charles-Adolphe Wurtz, qui l’autorise à s’inscrire à la faculté à la condition qu’elle ait son baccalauréat. Deux ans plus tard, en 1868, elle entre à la Faculté de médecine de Paris, en même temps que trois étudiantes étrangères, Elizabeth Garrett, Catherine Gontcharov et Mary Putnam : ce sont les quatre premières étudiantes en médecine en France.

    Résultat d’images pour madeleine bres

    Madeleine Brès / Doctoresse - 4 - L'étudiante / Carte postale / ca 1900 / © BIUM

    Madeleine Brès est la première femme française à obtenir le diplôme de docteur en médecine en 1875. 

    Suite à sa thèse de doctorat De la mamelle et de l’allaitement, Madeleine Brès se spécialise dans tout ce qui touche à la relation entre la mère et son bébé, ainsi qu’à l’hygiène des jeunes enfants. Missionnée par le ministre de l’Intérieur en 1891, elle part en Suisse étudier l’organisation et le fonctionnement des crèches et en 1893, fonde une crèche dans le quartier des Batignolles. Professeur d’hygiène, elle enseigne notamment aux directrices des écoles maternelles de la ville de Paris. Enfin, elle dirige le journal Hygiène de la femme et de l’enfant et est l’auteur de livres de puériculture.

     

    Voila quelque revues de presse  médicale de cette époque

    Clichés sur la femme médecin

    Cet accoutrement, (tablier plein de sang) ces salles infectes, ces débris humains, ces rudes travaux, font un contraste repoussant avec ces formes féminines.(…) Ces jeunes femmes perdent toutes leurs grâces, tout leur charme, tout l'attrait de leur sexe. Ce ne sont plus ni des femmes ni des hommes."

    "La femme ne peut prétendre à parcourir sérieusement la carrière médicale (…) qu'à la condition de cesser d'être femme : de par les lois physiologiques, la femme médecin est un être douteux, hermaphrodite ou sans sexe, en tout cas un monstre. Libre maintenant à celles que tentera cette distinction de chercher à l'acquérir

    La nature faible de la femme est invoquée pour dire qu'elle n'a pas la force physique nécessaire au métier de médecin. 
    - Il est fait allusion à ses menstruations, pour dire qu'elle est encore plus faible une fois par mois.

    "Et quand elles seront enceintes comment s'approcheront-elles de leurs malades avec leur gros ventre ?

    Pour être médecin il faut avoir une intelligence ouverte et prompte, une instruction solide et variée, un caractère sérieux et ferme, un grand sang froid, un mélange de bonté et d'énergie, un empire complet sur toutes ses sensations, une vigueur morale, et au besoin, une force musculaire. (…) Ne sont-elles pas le  contraire de la nature féminine."

    A son retour au Canada en novembre 1897, Maude Abbott ouvre son propre cabinet à Montréal, où elle soigne des femmes et des enfants.

    encore des exemples

     

    Pendant la Première Guerre Mondiale, Augusta Déjerine-Klumpke installe dans la Clinique de Charcot à la Salpêtrière le service des blessés militaires.

     

    Elle fut pionnière dans le traitement et la réadaptation de grand nombre de soldats affligés par des blessures du système nerveux et particulièrement du cordon médullaire.

     

     

     


    34 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique