• Helen Keller, un nom qui mérite d’être connu. Écrivaine américaine, née en 1880 dans un petit village d’Alabama, Helen est victime d’une maladie juvénile qui la rend sourde et aveugle à tout jamais. A 18 mois, elle se retrouve donc dans un univers noir et impénétrable, isolée de toute communication avec les autres. Cependant, après une période d’adaptation qui dura 5 ans, Helen parvint à communiquer de nouveau avec sa famille : elle utilisait une soixantaine de gestes pour se faire comprendre. Elle était très entourée par sa famille et ses amis, ce qui, d’après les spécialistes, l’a aidé à se surpasser. Sa mère l’accompagne dans un Institut spécialisé, afin de trouver des solutions à son handicap.

     

    Cette solution s’appelle Anne Sullivan, jeune malvoyante de 20 ans et ancienne étudiante de l’Institut. Anne est essentielle dans la vie d’Helen, et restera à ses côtés des dizaines et dizaines d’années. Elle apprit à Anne à communiquer avec ses mains en formant des lettres.

    Dès lors, Helen ne cessa pas son ascension :

    Hellen Keler peu après l'obtention de son diplôme    

    Elle est donc : LA PREMIERE FEMME SOURDE , MUETTE, AVEUGLE A AVOIR UN DIPLOME UNIVERSITAIRE EN ART !

    C’est à cette période que Keller s’engage politiquement. Elle crée une fondation pour les personnes handicapées. Elle participe à des conventions tout autour du globe dans le but de défendre les causes qui lui tiennent à cœur, ainsi que de lever des fonds. Elle est aussi très engagée dans différents domaines : socialiste, elle se bat pour le droit à la contraception, au droit de vote… Certains médias, qui avaient acclamés son courage et son intelligence la renient depuis qu’elle s’est engagée politiquement…

                   

     

    Helen est une femme talentueuse, qui écrit de nombreux essais politiques mais aussi des romans. La majorité de ses écrits étaient cependant destinés aux journaux, ses articles polémiques sont les plus connus. Sa vie a été de nombreuses fois adaptée au cinéma, dès 1919. Les hommages à cette femme incroyable ne cessent pas, l

    ’État d’Alabama a par exemple frappé une série de pièces en son honneur,

                                                     

    et Anne Sullivan and Helen Keller statue      

                              

    de nombreuses statues ont été érigées pour la remercier de ses actions et de son engagement.

                  


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  • Nous avons eu un superbe week-end, ce qui m'a permis de faire un petit tour de CERET, voir que mimosa et jonquille étaient déjà en fleurs dans les jardins, puis au retour  nous avons fait un scrabble  grande première pour Anne - marie, nous avons bien rigolé et nous recommencerons ; aujourd'hui je me sens vraiment en forme  ouf !!!!!

    Cette semaine je vais commencer  une suite de billets  sur les PIONNIERES , j'espère que cela vous plaira ,

    Statue de Rosa Parks dans le Capitole des États-Unis, Washington,

    Nelson Mandela rencontre Rosa Parks aux Etats-Unis

    En 1865, le Président Lincoln abolit l’esclavage. C’est la fin de la guerre civile américaine,  et le début d’une nouvelle ère pour les afro-américains.  En 1870, grâce au XVIe amendement,  ces derniers obtiennent enfin le droit de vote. Cependant, les mentalités n’évoluent pas rapidement : une nouvelle série de lois votées dans les États du Sud (les lois Jim Crow), limitent leurs droits dans de nombreux domaines.  Même si les esclaves sont dorénavant libres aux yeux de la loi, ils ne continuent pas moins à être opprimés par les groupuscules racistes comme le très puissant Ku Klux Klan..

    L’époque de la ségrégation raciale, dont l’idéologie hypocrite du  « séparés mais égaux », commence. Les noirs profitent des mêmes services que les blancs : ils peuvent en théorie vivre comme les blancs, prendre le bus, accéder aux soins… Mais dans les faits les services qui leur sont proposés sont d’une qualité bien moindre. Ces inégalités sociales sont entérinées par la Constitution américaine en 1896 à la suite de l’affaire « Plessy contre Ferguson », qui institue légalement la ségrégation.

    Rosa Parks, avec Martin Luther King dans son ombre...

    Dès les années 50, les militants des mouvements pour les droits de l’Homme luttent sans relâche pour faire abroger les lois qui découlent de la philosophie du « séparés mais égaux ». Parmi eux, Rosa Parks.

    Rosa Louise McCauley est née en  1913 et a grandi dans l’Amérique ségrégationniste : Elle raconte, dans son autobiographie, avoir vu défiler le cortège du Ku Klux Klan devant chez ses parents alors qu’elle n’était qu’une enfant. Elle épouse en 1932 Raymond Parks, un membre du NAACP (Association Nationale pour l’avancée des droits des personnes de couleur). Elle en devient membre à son tour, en tant que secrétaire, dès 1943, pas tant par conviction que par timidité, comme elle l’avoue elle-même : « J’étais la seule femme, ils avaient besoin d’une secrétaire, et j’étais trop timide pour oser dire non ».

    Une reconstitution photographique du geste héroïque de Rosa ParksAu début des années 50, Rosa Parks vit à Montgomery, dans l’Alabama, et travaille en tant que caissière dans un magasin. Pour se rendre à son travail, elle prend quotidiennement le bus. L’Etat d’Alabama est particulièrement ségrégationniste, et si les noirs sont autorisés à monter dans les mêmes bus que les blancs, les places assises à l’avant des véhicules sont exclusivement réservées aux blancs. Le premier décembre 1955, elle monte dans le bus et paie son trajet, comme tous les jours. Mais cette fois-ci, elle s’assied au premier rang et refuse de céder sa place aux passagers blancs. Le chauffeur du bus est contraint d’appeler la police car Rosa Parks, déterminée, reste assise. Elle passera la nuit en prison, et sera condamnée à une amende pour son acte subversif.

    Elle n’est pas la première afro-américaine à se conduire de la sorte. Mais E.D. Nixon, l’élu local de l’association de Rosa Parks, sent bien que son acte pourrait avoir une portée toute autre. Il organise un boycott massif de la ligne de bus de Montgomery. Le retentissement est immense  dans tout le pays. Les groupes racistes répondent avec violence, attentant à la vie de Martin Luther King et de E.D. Nixon. Le boycott de Montgomery est une des mobilisations les plus importantes menée aux États-Unis, et les historiens s’accordent pour dire qu’il a favorisé la montée en puissance de Martin Luther King. Rosa Parks perd son travail à la suite de son arrestation, mais son geste courageux marque un tournant dans l’Histoire des droits des afro-américains aux USA, dont elle demeure un symbole.

    par0-018-8d336      décèdée le 24 octobre 2005                                                   

    Barack Obama assis sur le bus. Parcs a été arrêté assis dans la même ligne que Obama est en, mais du côté opposé.

     
    Bon lundi, bonne semaine

     

     

     


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  • Phil@poste Boulazac est l’institution française chargée depuis 1880 de l’impression des  TIMBRES POSTAUX et FISCAUX à destination des administrations postales françaises (La Poste, mais aussi administrations postales autonomes outre-mer) et d’administrations postales étrangères. Avant 1958, elle fabriquait également les timbres en usage dans les colonies françaises.

    Depuis 1880, elle a changé de noms à plusieurs reprises : initialement Atelier des timbres-poste, elle est devenue par la suite Imprimerie des timbres-poste et des valeurs fiduciaires (ITVF) jusqu'en mars 2006.

     

     

     

    Paris[

    Après avoir sous-traité l'impression des premiers timbres-poste à Anatole Hulot de 1848 à 1876 et à la Banque de France de 1876 à 1880, l'administration des Postes rachète l'imprimerie parisienne  de la  rue d'Hauteville  et le matériel s'y trouvant qui réalise les timbres au type Sage depuis 1876.

    En 1895, une nouvelle imprimerie et un dépôt de timbres-poste sont construits dans le sud de Paris, au 103 BOULVARD BRUNE ,

    Au début de la Seconde guerre mondiale  la production est temporairement délocalisée à LIMOGES

    Périgueux

    Depuis juin 1970, l'Imprimerie des timbres-poste et des valeurs fiduciaires est située à BOULAZAC, dans une zone industrielle proche de PERIGUEUX. Le premier timbre imprimé sur ce site fut la MARIANNE DE CHEFFER  (0,40 franc rouge).

    En 1989, l'ITVF est intégrée au Service national des timbres-poste et de la philatélie (SNTP), chargé de préparer et commercialiser les émissions philatéliques de La Poste. Comme pour les autres administrations postales clientes, l'imprimerie assure la finalisation des maquettes, l'impression des timbres-poste et produits philatéliques commandés.

    Lorsque le SNTP devient Phil@poste en mars 2006, l'ITVF est rebaptisée « Phil@poste Boulazac ». Les premiers timbres à porter le nouvel intitulé de l'imprimerie sont émis au type Marianne des Français attenants à des vignettes personnalisées

    Activités

    L'imprimerie réalise les timbres de  et des territoires d'outre-mer exerçant leur autonomie philatélique et postale. Elle a aussi été l'imprimerie du (BEPTOM) de 1958 à 1994 au bénéfice des administrations postales de pays africains. Elle livre également des clients postaux étrangers. Ses timbres se reconnaissent à la signature d'imprimerie : « ITVF » en bas du timbre jusqu'en 2006, puis « Phil@poste ».

    Les activités de l'imprimerie sont régulièrement présentées lors d' françaises d'importance : , salons du timbre. Le public peut observer les ouvriers de l'ITVF fabriquer des vignettes à l'aide des différents types d'impression.

    Au cours des années 1990, l’ITVF utilisait chaque année 1 600 tonnes de papier et 120 tonnes d’encre. Elle produisait alors 4 milliards de timbres-poste :

    • 3,6 milliards pour la série française d’usage courant,
    • 431 millions pour le programme philatélique de France.
    • 38 millions pour les administrations postales étrangères.
    • AUJOURD'HUI
    • C’est à Boulazac que La Poste imprime encore chaque année ses 3,5 milliards de timbres © Photo
    • Dordogne : l'imprimerie du timbre face à la diminution des plis postaux

      Malgré les « œuvres d’art » qu’ils racontent ici graver à tour de bras et de rotatives, les 450 derniers salariés de l’unique imprimerie française de timbres n’ont aucune envie de jouer aux gardiens de musée. « Hélas, la plupart des postiers ne savent même pas que nous existons encore », se désolait ce jeudi une poignée d’entre eux, à l’heure de la débauche, à Boulazac, dans la banlieue de Périgueux.

      Symbole de la toute-puissance administrative et jacobine depuis que nos enveloppes ont eu l’obligation de l’afficher en 1849, la vignette verrait-elle ses jours de gloire comptés ? À l’avant-veille de la nomination à la tête de La Poste d’un nouveau PDG venu tout droit du secteur bancaire, c’est peu dire que le courrier papier semble, de saison en saison, froissé par les correspondances numériques.

      Car, si les Français s’écrivent toujours autant, leurs échanges se dématérialisent chaque heure davantage. De mails privés en factures numérisées, 20 % de nos bonnes vieilles enveloppes sont ainsi passées à la corbeille depuis dix ans. Accélérée par la crise économique, la dégringolade atteint même désormais une baisse annuelle de 6 %, et sans doute d’un tiers d’ici à 2018. Qu’importe l’augmentation récurrente du prix de l’affranchissement, La Poste ne saura longtemps encaisser ce manque à gagner alors même que certains

      des 90 000 facteurs tournent parfois à vide.

      L'imprimerie de la Poste à Périgueux .

      Au début comme au bout du bout de cette chaîne historique, l’usine de Boulazac donne pourtant encore le tournis industriel. 500 millions de timbres de collection et 3 milliards de Marianne y ont été imprimés l’an dernier. « Nous sommes capables d’en sortir plus de 2 millions en une heure », s’enorgueillit Marc, cadre supérieur de 48 ans. « Le problème, c’est que l’entreprise se tire une balle dans le pied en abandonnant la promotion du timbre. Allez le vérifier dans un bureau de poste, où il est aujourd’hui plus facile d’acheter un téléphone qu’un vrai timbre. Sans parler des enveloppes Prêt à poster et des vignettes autocollantes. Elles sont peut-être beaucoup moins chères à fabriquer, mais, si l’on vous disait à quel point elles sont falsifiables… »

      Elsa Catelin très absorbée par son travail de gravure

      Derrière ses hautes façades vitrées qui ne trahissent guère la forteresse sécurisée qu’est devenue l’usine Phil@poste, l’état-major ne semble d’ailleurs guère d’humeur à vanter les charmes du métier . Car, tandis que le site Internet du groupe propose déjà de « calculer l’impact carbone de votre prochain envoi », la transition numérique est pour beaucoup la seule stratégie capable de contrer le féroce appétit des concurrents privés.

      avant de passer sous presse la plaque de l'épreuve doit être soigneusement encrée et correctement essuyée

      Malgré sa présentation en fanfare républicaine, et même présidentielle, le 14 juillet dernier par François Hollande, la nouvelle Marianne pourrait ainsi n’être bientôt qu’un objet de collectionneurs. Avec moitié moins de salariés qu’il y a trente ans, les grognards de l’imprimerie de Boulazac sont aujourd’hui une petite goutte d’encre - pour certains anachronique - parmi les 270 000 collaborateurs de La Poste, tandis que, déjà, le découpage des carnets de timbres est sous-traité en Roumanie.

      Et après la presse à bras des artistes voici la moderne presse automatique qui va imprimer les feuillets spéciaux des jardins de France

      « C’est d’autant plus dommage qu’il y a encore beaucoup d’argent à se faire », râle Marc, responsable qualité. « D’autres, comme les Tchèques, avec un savoir-faire moins reconnu, l’ont d’ailleurs bien compris, et nous taillent des croupières lorsqu’il s’agit de gagner des marchés à l’international. Malheureusement, notre budget consacré à la recherche et au développement est devenu minuscule. »

      Comme le disque vinyle ?

      Illustrant mieux que quiconque la croisée des chemins postaux du XXIe siècle, Pierre n’apprécie guère plus de passer pour un dinosaure. Pourtant, à seulement 24 ans, le jeune homme est l’un des dix derniers artistes graveurs de timbres du pays. « Encore 200 nouveaux modèles chaque année, même si je passe, hélas, de plus en plus de temps derrière un écran d’ordinateur. »

      Le timbre de 1930 : Caisse d'amortissement Coiffes des régions (dessin et gravure du bordelais Abel Mignon)

      Malgré un horizon professionnel qu’il avoue ne plus distinguer clairement, Pierre refuse la fatalité. « Que l’on ne nous fasse pas croire qu’Internet va tuer le courrier. Parce que moi, quand je commande un truc sur eBay, il y a bien quelqu’un qui me l’amène ensuite dans ma boîte aux lettres. Alors, par pitié, dites juste aux Français que, pour 63 centimes, ils peuvent s’offrir une petite œuvre d’art à coller sur leur enveloppe. Du made in France de A à Z. » Fier mais fébrile quand, à l’instar du disque vinyle, celui-ci promet un retour en grâce de la lettre timbrée de frais.

      cette énorme Rotomec, une machine italienne, capable d'imprimer en dix couleurs, contre six maximum aujourd'hui. BIENTÔT EN SERVICE

      Tandis que son prédécesseur a dessiné les contours numériques du futur facteur multicartes, le nouveau PDG de La Poste ne saura de toute façon abandonner à son sort ce courrier qui représente encore la moitié du chiffre d’affaires de l’entreprise.


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  • j'ai reçu ce matin des berlingots de Berck , Henriette m'a dit  tu sais ils

    les font devant toi alors je suis allée voir , pour vous faire partager

    Histoire du Succès Berckois

    1922

    Ouverture du magasin par Lucie Bousqué et Maria Bouet. Le Succès Berckois doit son nom au succès rencontré à l’ouverture de son premier local, au 51, rue Carnot. La fabrication se fait devant les clients comme souvent à l’époque. originaire du pays basque, la famille choisit de s’inspirer du piment d’Espelette pour la forme de ses sucettes. Chaque année, de juin à octobre, les deux demoiselles régalent les touristes et les malades avec de délicieux berlingots.

    1933

    Elles décident de s’installer définitivement au 56, rue Carnot.

    1950

    Après guerre, leur nièce Marie-Louise prend le relais, toute la famille s’active….

    1970

    Micheline Matifas, la fille ainée, après avoir longtemps aidé sa mère, reprend seule le magasin

    1985

    Ouverture toute l’année et lorsque Jean-Yves Matifas et son épouse viennent rejoindre l’équipe, on développe les visites de groupes.

    2002

    Transferts au 31 rue Carnot, dans de nouveaux locaux plus spacieux.

    Création de l’espace pédagogique sur le sucre, expositions thématiques renouvelées périodiquement, présentation de pièces en sucre d’art.

     

    A l’heure de la surproduction et de l’industrialisation à outrance.
    Jean-Yves Matifas, artisan-confiseur, se bat afin de préserver un savoir-faire familial que l'on se transmet dans la famille depuis 1922.

    En conservant la fabrication artisanale de ses produits, permettant à ses clients de retrouver les saveurs d’antan.
    Recherchant constamment des nouveautés en présentations et en parfum pour suivre l’évolution des goûts.

    Pour réaliser ce bonbon anniversaire, le maître du berlingot fait chauffer le sucre qu’il écoute, hume puis regarde afin de savoir s’il est prêt à être coulé sur le marbre. Une fois le sucre moulé dans un cadre, le calvados chaud est versé puis flambé. Jean-Yves ajoute l’arôme pomme tatin puis les morceaux de pommes déshydratés. Il forme ensuite une boule dont il sort des bandes régulières taillées avec de robustes ciseaux. « Mes sucettes ont une forme de piment d’Espelette et les berlingots ont l’aspect de coussins. »

     

    C’est une vieille recette familiale du siècle dernier, qui fit les délices de nos grands-mères lorsqu’elles étaient petites filles. On s’en régalait les jours de fêtes. Puis, le progrès est venu, on n’a plus fait, mais acheté des bonbons, alors la tradition s’est perdue.

    Au "Succès Berckois", vous verrez fabriquer les berlingots comme autrefois, sucre coulé sur le marbre, filé au crochet, taillé aux ciseaux. C’est un travail artisanal, devenu une curiosité, car rares sont les confiseurs qui ont gardé la tradition du travail devant le client.
    Cette tradition se transmet depuis cinq générations, on est resté fidèle aux méthodes de fabrications depuis cette époque, mais on a évolué dans le choix des parfums et des présentations.

    Les véritables berlingots artisanaux fabriqués à partir de sucre travaillé au crochet dans le magasin de Berck-Sur-Mer par votre artisan confiseur

    Une trentaine de parfums sont à découvrir. Pour les fêtes, un petit nouveau s’invite : le berlingot au champagne. « La fabrication artisanale de bonbons est devenue rare. Chaque année, 4,3 tonnes de berlingots et sucettes sont produits ici. » Comme autrefois.

     


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