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    ET VOUS   ??? SAVEZ - VOUS LES FAIRE  MOI NON !!!!!

     

    Qui a inventé les macarons ?

     

    Les macarons sont aujourd’hui devenus des pâtisseries célèbres en France. Petit gâteau moelleux en forme ronde, aux couleurs et aux goûts variés, le macaron connaît un grand succès. Mais qui a inventé le macaron et quel est son parcours ? Nous allons voir que son histoire est longue et variée.
     

    L’origine des macarons

    L’histoire du macaron débute au Moyen-âge

    Selon plusieurs historiens de l’alimentaire, les macarons ont été créés dans les pays arabes lorsque les Européens ont commencé à naviguer loin de leurs terres.

    Puis, à la Renaissance, ils font leur apparition en France grâce à Catherine De Médicis lors de son mariage avec le Duc d’Orléans, le futur roi de France.

    Le macaron d’époque était aussi préparé à base d’amandes, de sucre et de blancs d’œuf, mais il se présentait alors sous la forme d’un simple biscuit. On est encore loin de la pâtisserie incontournable d’aujourd’hui.

    Un biscuit qui a fait son effet en France

     

    Après l’apparition de cette pâtisserie en France, beaucoup de régions ont repris et adapté la recette. C’est cette émulation qui rend l’origine des macarons passionnante. Par exemple, le macaron de Lorraine a été inventé au XVIIIe siècle sous l’égide des Dames du Saint-Sacrement. Il y a aussi le macaron de Boulay dont la recette remonte à 1854.

                                                

    Des macarons aux recettes régionales sont ensuite vendus à Montmorillon ou en Ardèche avec le Joyeux Ardèche. À Paris, ce n’est qu’en 1830 que les pâtissiers parisiens ont décidé de les assembler deux par deux en les garnissant d’une petite confiture appelée « ganache ». Puis, le magasin Ladurée, l’un des plus connus, l’a popularisé en le nommant « Le Macaron Parisien ».

    Les parfums comme la pistache, la framboise, la noisette, la vanille sont des goûts classiques des macarons. Cependant, des grandes enseignes comme Ladurée ou encore Picard ont développé de nouveaux parfums originaux et nul doute que d’autres créations verront le jour très prochainement.

    La littérature, souvent utile pour dater les événements de la vie quotidienne, évoque la création du macaron dès le XVIe. Rabelais fut ainsi le premier écrivain à parler de cette « petite pâtisserie ronde ».

     

    Les deux coques du macaron vont être accolées deux à deux dans les années 1830, enrichies de confitures, d’épices, de liqueurs,. Puis à la fin du XIXè siècle naît « le macaron parisien » ou « Gerbet ». C’est le macaron tel qu’on le connaît aujourd’hui. On le trouve dès 1880 dans le quartier de Belleville à Paris. 

                                                          Résultat d’images pour macaron gerbet  

    Pourquoi les macarons sont ronds ?

    Il y a une légende autour de la forme ronde. L’histoire du macaron raconte qu’un moine avait l’habitude de pétrir la pâte d’amandes torse nu. Un jour, très fatigué, il tomba d’épuisement et laissa une trace de son nombril sur la pâte. À cet instant, le macaron a pris la forme d’un rond.

    Une légende très originale dont la véracité n’a jamais été prouvée.


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      QUI A SON PETIT BOL BRETON ?

     

     La Faïencerie de Pornic est renommée pour   son style breton à l'identité forte, hérité d'une   tradition qui remonte au XVIIIème siècle. Il se   distingue par des guirlandes et rameaux aux   touches légères, un rebord épongé bleu et des   petits personnages naïfs aux joues rondes et   aux vêtements bouffants.

     

     Dans ce style, l'emblème de la Faïencerie de   Pornic est manifestement le Petit Breton, décor 

     phare du bol breton - encore appelé bol à   oreilles - qui traverse le temps et l'espace       avec  toujours le même charme.

     

     

      Le Petit Breton, premier d'une longue dynastie

     

     Traditionnellement orné d'un prénom calligraphié à la main,

     le premier

      Petit Breton est né en   1950, sous le pinceau de Raymond Cordier,

     alors chef d'atelier.

     

     Techniquement appelé CEB (pour Cordier Épongé Bleu), il était à l'origine

     entièrement peint  à la   main.

      Comme le petit homme tendait à s'épanouir en hiver et à s'amincir en été,

      le recours au   tampon, puis au chromo, vint bientôt stabiliser sa silhouette.

     

     Plus tard, le Petit Breton a trouvé sa compagne. Ensemble, ils sillonneront la France en

      costumes   auvergnats, basques ou normands.

     

     

    Contrairement à ce que l'on peut trouver sur certaines imitations bon marché, à la Faïencerie de Pornic la calligraphie des prénoms

    est toujours réalisée au pinceau et à main levée dans le style unique et inimitable "Pornic"

    . C'est ce qui vous garantit le caractère authentique et véritable de chaque bol-prénom.

     


     

     

    Les personnages du bol-prénom existent dans plusieurs costumes, assortis à des bords ("épongé") de couleurs différentes selon les régions. En particulier on trouvera un épongé :

     

    Bleu pour la Bretagne

    Vert pour le Pays Basque ou l'île de Ré

    Rouge pour l'Alsace ou la Savoie

    Jaune pour la Provence

     

    Malgré ces multiples atours, le décor a peu changé au fil des années, il se compose toujours d'un ou de deux personnages cernés au trait noir, rehaussés de touches bicolores et encadrés de palmettes vertes.

     

     

    La demande ne fléchit pas : la production

    de bol-prénom se chiffre à environ 5-10 000 pièces par mois en hiver et culmine à 40-50 000 l'été. Le record absolu :

    73 000 en août 2017 !

     

    En plus d'un demi-siècle, le Petit Breton

    s'est multiplié pour atteindre les vingt     millions     d'exemplaires. Présent dans les meilleurs magasins de souvenirs de l'Hexagone, il   voyage   également à travers le monde pour se retrouver sur les tables de crêperies bretonnes   au  Japon   ou  aux États-Unis.

     

      Toutes les inscriptions sont réalisées exclusivement à la demande du client et dans un   délai très court.

     

     

     Top des prénoms 2017

     

     

      les données sont basées sur un échantillon national restreint, mais néanmoins représentatif,
      de     37346 bols-prénoms -- parmi les quelques centaines de milliers que nous fabriquons     chaque   année -- comprenant 3809 prénoms différents et 2036 prénoms uniques
     (i.e. demandés une   seule fois, comme "Yorben" par exemple).

      Ces données sont basées sur un échantillon national restreint, mais néanmoins représentatif,

     de   37346 bols-prénoms -- parmi les quelques centaines de milliers que nous fabriquons chaque   année -- comprenant 3809 prénoms différents et 2036 prénoms uniques

     (i.e. demandés une   seule fois, comme "Yorben" par exemple).

     

     

     On obtient ainsi un classement tout à fait relatif qui ne reflète pas, bien entendu, la       distribution des prénoms donnés à la naissance puisqu'un bol-prénom peut être offert à tout âge.


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  • Chouette il a fait beau dimanche ; la bénédiction des chevaux  a eu lieu , beaucoup de gens sur le parcours !!


    chevaux

     

    Résultat d’images pour ceret la cavallada bénédiction

    Coucou je t'ai vu  !!!!!


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  • Il est dans sa chemise

     " Ne cherche pas à savoir où il se trouve »

    .

    Où est-il ? Dans sa chemise!

    Résultat d’images pour des chemises

    Voilà une réponse ironique bien expéditive

    pour rabrouer son interlocuteur!

    Et, de la même manière qu’on la revêt chaque jour,

    on peut changer d’avis comme de chemise,

    « avoir constamment de nouvelles opinions ».

    .

    Etre comme cul et chemise, » très liés »,

    joue, quant à elle, sur une réalité indéniable:

    quant on rentre sa chemise dans son pantalon,

    le tissu est en contact avec les fesses…

    .

    Enfin, dans l’expression:

    « Je m’en moque comme de ma première chemise »,

    le mot a un sens plus général:

    il fait référence au premier vêtement que l’on a porté enfant

    et dont on n’a que faire.

    On tuerait un âne à coups de bonnet

    « Il est trop lent; c’est interminable »

    .

    Quand on se dit prêt à tuer un âne à coups de bonnet,

    voire à coups de figues molles,

    on préférerait sûrement tuer le temps en se trouvant une activité,

    surtout si quelqu’un nous fait tenir la mule… ce qui signifiat,

    au XVII ème siècle,

    « faire attendre quelqu’un un long moment à la porte ».

    .

    On fait le poireau  ou on attend cent sept ans

    jusqu’à ce qu’on se demande si on n’est pas resté sur la touche,

    comme les sportifs, ou si on ne s’est pas fait poser un lapin …

    .

    Au XIXème siècle,

    les lapins étaient les passagers pris en surnombre dans les voitures publiques

    (donc serrés comme des lapins dans leur clapier):

    les conducteurs ne les comptabilisaient pas,

    se mettant dans la poche le prix de leur trajet.

    Puis le mot a désigné les fraudeurs eux-mêmes.

    De là est née l’expression

    « faire  cadeau d’un lapin à une fille »,

    transformée rapidement en « poser un lapin »,

    « ne pas rétribue les faveurs d’une prostituée »

    qui, de nos jours, a pris le sens de

    « ne pas honorer un rendez-vous ».

     

    … la suite ?

    C’est pour la prochaine fois …

     

                    A LUNDI 


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