J'espère que vous avez passé un bon weekend ?  

Un peu de gaité pour ce mois grisounnet 

Le mariage, ce moment unique qui officialise l’amour entre deux personnes et qui fait rêver de nombreuses filles (et nous évidemment) depuis leur plus jeune âge ! Et les traditions qui y sont liées, vous les connaissez ?

La plus célèbre des traditions anglaises

« Something old, something new, something borrowed, something blue ». Vous connaissez déjà cette jolie coutume qui nous vient de nos amis anglais ? Non ? « Quelque chose de vieux, quelque chose de neuf, quelque chose de prêté et quelque chose de bleu ». Voici 4 porte bonheur que la mariée se doit d’avoir sur elle le jour de son union : un pour sa vie d’avant, un pour sa vie à venir, un autre porteur du bonheur d’une femme déjà mariée et enfin une touche de bleu pour la pureté et la fidélité.

Une tradition sucrée venue de Grèce

Direction la Grèce, pour une tradition gourmande. La future épouse peut cacher un sucre dans son gant de mariée pour symboliser la douceur du mariage à venir.

Une chaussette trouée pour le marié danois

Oui, nous aussi notre réaction a été « euh…quoi ? ». C’est au Danemark qu’on a déniché cette drôle d’idée : « chaussette trouée, gage de fidélité ». Le marié doit trouer sa chaussette, sinon ses invités s’en chargeront pour lui. Selon les Danois, plus aucune femme ne voudra d’un homme à la chaussette trouée, il sera donc fidèle à son épouse !

Qui a la fève en Argentine ?

Nous, on est habitué au célèbre lancer du bouquet de la mariée : celle qui l’attrape sera mariée dans l’année à venir (ce qui explique que le petit-ami de votre cousine prête à bondir, fait une drôle de tête…). Eh bien en Argentine, où le mariage est une fête qui peut durer trois jours, où l’on se déguise et joue du tambour, il existe une coutume étonnante : ils cachent des petits objets dans un gâteau dont une bague. Les « fèves » sont reliées à des fils sur lesquels les jeunes filles doivent tirer. Celle qui tombe sur la bague… sera mariée dans l’année !

Un vrai défilé pour les mariées musulmanes

Qu’est-ce qui fait rêver la future mariée ? La robe, évidemment ! Lors d’un mariage musulman, une mariée peut avoir jusqu’à 7 robes et se change tout au long de l’évènement (la chance !). Traditionnellement, le mariage durait 7 jours (vous l’avez compris : une robe par jour). De plus, la veille du mariage elle verra ses mains et ses pieds décorés de henné pour la fertilité et le bonheur du couple.

Quelques jours séparés, un verre brisé à un mariage juif

Lors d’un mariage juif, quelques jours avant leur union, les futurs époux doivent se séparer pour méditer sur l’importance de l’engagement qu’ils s’apprêtent à réaliser. Ils doivent jeûner le jour de leur mariage jusqu’au repas, après leur union religieuse. Pour clôturer la cérémonie, le marié brise un verre avec son pied droit (en souvenir de la destruction du Temple de Jérusalem). Mazel Tov !

Aux États-Unis, les futurs mariés sont prêts ? Alors répétons !

En voilà une drôle d’idée ! Les américains s’y connaissent en show, mais pour être au point, il faut répéter… et à son mariage, on n’y échappe pas ! Le « rehearsal dinner » a lieu la veille du mariage avec les proches pour se retrouver autour d’un bon repas. Quand on pense à leurs somptueux wedding cake (dont on compte s’inspirer), on veut bien écouter tous les discours du monde.

Des larmes sacrées venues de Chine

Voici une tradition ancestrale qui nous vient de Chine. Mais avant toute chose n’oubliez pas : c’est le rouge qui est à l’honneur, symbole de bonheur et de chance pour l’avenir du couple. Les célèbres pleurs des femmes issues de la famille de la mariée sont un signe de nostalgie. En effet, la promise appartient désormais à une autre famille. Il faut aussi savoir que ces femmes commençaient à pleurer des jours avant le mariage, le tout formant un chant.

La bénédiction ukrainienne

En Ukraine, la famille de la mariée donne sa bénédiction à l’homme qui demande la main de leur fille. Cet événement se déroule juste avant la cérémonie et ne réunit que les proches. Ce n’est donc pas le père qui accompagne sa fille mais les époux qui entrent ensemble en tant que partenaires. Le travail d’équipe mais surtout l’égalité sont tous les deux très importants. Viendra ensuite le couronnement des époux pour célébrer l’amour, la pureté et la fécondité. Autre élément important, le Korovai, qui est un gros pain tressé et décoré. Il sera partagé et dégusté avec les invités.

Allons prendre un bain en Inde

Terminons notre voyage avec un détour en Inde. Les mariés iront d’abord prendre un bain composé de plantes qui leur apporteront la douceur de vivre, la longévité et la fécondité. Puis, on nouera deux cordons autour de leurs poignets qu’il garderont durant toute la cérémonie. Une fois officiellement mariés, ils recevront les vœux des invités dans une balancelle.

A VOUS TOUS 

Et oui, on change encore une fois d’heure……(comme 2 fois par an même si ça sert à rien, à part à dérégler notre horloge interne et je vous parle même pas de celle de nos animaux………..grrrr je déteste ces changements d’heure

 et vous??

Les grandes afflictions semblent raccourcir les heures comme les grandes joies.
Citation de Chateaubriand ;

 

Il y parfois dans la vie des instants ouverts sur le bleu du ciel ou de l'espérance, des heures heureuses parcourues de brises légères, emplies de rire et d'amour.
Citation de Jacques Salomé

 

 

Une montre marque les heures, mais auprès de la personne qu'on aime on les oublie.
Citation de Jean Baptiste Blanchard ;

 

 

Les heures sont des fleurs l'une à l'autre enlacées, ne les effeuillez pas plus vite que le temps.
Citation de Victor Hugo 

 

 

weekend  super  occupé  , je vous le souhaite plein de douces joies  

 

 

 

trotticup - 

DANS LE CADRE DE   LA FOIRE AUTOMNALE

tout le weekend  , manifestations diverses 

Aujourd'hui  envie de sourire  et vous  

Insolites  du jour

Eh oui  il a était jeune !!!

Je t'aime  et toi??

Alors   t'es prêt ???

Un c'est bien deux c'est mieux 

Mary Anderson (inventeur)

Mary Anderson (1866-1953) est une promotrice immobilière, éleveuse, viticultrice et inventrice américaine. En novembre 1903, elle a obtenu un brevet pour un dispositif automatique de nettoyage des vitres de voiture contrôlé de l'intérieur du véhicule: l'  essuie-glace

Mary Anderson est née dans le comté de Greene, Alabama, au moment de la reconstruction après la guerre de Sécession en 1866. En 1889, elle déménage avec sa mère, veuve, et sa sœur à la ville alors en plein essor de Birmingham, en Alabama. Elle y a construit Fairmont Apartments sur Highland Avenue, peu après sa venue. En 1893, Mary Anderson s'est installée près de Fresno, en Californie, où elle s'est occupée jusqu'en 1898 d'un ranch et de viticulture.

Lors d'une visite à New York pendant l'hiver 1903, dans un tramway par une journée glaciale, elle a observé que le machiniste était obligé de conduire avec la vitre ouverte à cause du grésil qui se formait sur le pare-brise. Quand elle revint en Alabama, elle embaucha quelqu'un capable de mettre au point un dispositif à commande manuelle pour nettoyer un pare-brise et demanda à une entreprise locale de produire un prototype. Elle obtint un brevet de 17 ans pour cet essuie-glace. Son dispositif était constitué d'un levier à l'intérieur du véhicule qui contrôlait une lame de caoutchouc à l'extérieur du pare-brise. Le levier était actionné pour amener le bras à ressort à se déplacer sur le pare-brise. Un contrepoids était utilisé pour assurer le contact entre la glace et la vitre. Des dispositifs similaires avaient déjà été proposés, mais celui d'Anderson est le premier à avoir été efficace

En 1905, elle a essayé de vendre les droits à une société canadienne de renom, mais il lui fut répondu : « nous ne considérons pas que ce soit d'une telle valeur commerciale qui justifierait cette acquisition. » Après l'expiration du brevet en 1920, la production d'automobiles ayant augmenté de façon exponentielle, l'essuie-glace de pare-brise conçu par Anderson est devenu un équipement standard. En 1922, Cadillac est le premier constructeur automobile à l'adopter en tant qu'équipement standard.

Histoire de l'invention du lave-vaisselle

Joséphine Cochrane était riche et recevait beaucoup. Elle employait beaucoup de personnel pour faire la vaisselle mais voulait une machine qui puisse accomplir cette tâche sans jamais abîmer les plats. Pour l'anecdote, elle se serait même exclamé : « Si personne ne veut inventer de machine à laver la vaisselle, je le ferai moi-même ! ».Elle mesura donc ses plats et construisit des compartiments spécialement conçus pour recevoir assiettes, coupes ou soucoupes. Ces compartiments étaient placés sur une roue horizontale située dans une chaudière en cuivre. La roue était actionnée par un moteur tandis que de l'eau savonneuse, introduite par la base de la chaudière, ruisselait sur les plats. Elle construisit plusieurs exemplaires pour ses amis, qui baptisèrent la machine le « lave-vaisselle Cochrane » ("Cochrane Dishwasher"). Elle présentera son invention à l'Exposition universelle de 1893 à Chicago où elle remportera même un prix !Son entreprise prit le nom de Garis-Cochran Dish-Washing avant d'être intégrée à KitchenAid. La difficulté à produire suffisamment d'eau chaude et la taille de la machine limita, dans un premier temps, sa clientèle aux hôtels et restaurants. Ce n'est qu'au milieu du XX^e siècle que le lave-vaisselle se diffusa dans les foyers.