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Mais voilà l'ordinateur a ses limites et hier matin il a pas voulu se mettre en route ...
Après visite du Docteur Informaticien
Mr l'ordi c'est fini pour lui !
Dany vous prie de l'excuser elle sera absente encore quelques jours
le temps nécessaire à se réadapter au nouveau venu .
26 commentaires -
Le défilé du 14 Juillet, c'est un peu leur « showroom » à eux. Cette année, dans les tribunes, quelques chanceux ouvriers de l'usine BBA (Borrel Bouvard Arthaud) de La Chartre-sur-le-Loir auront le loisir d'admirer leurs propres créations portées par l'armée française. BBA, c'est avant tout une garantie de tradition et de qualité à la française.
Un tissage toujours à "l'ancienne"
Dans l'usine, les vieux métiers traditionnels en bois - l'un date même de 1846 - cohabitent avec des machines plus récentes et performantes. Pourtant, pas question, pour Éric Scipion, responsable de production, de se débarrasser des outils les plus anciens : « Le tissage est moins rapide, mais c'est indispensable pour les accessoires les plus fins. Le fil d'or est bien trop fragile pour être travaillé avec les machines modernes, il se casserait. »
Si BBA cultive sa différence, c'est que l'entreprise est unique en France.
Pose d'un bouton sur une épaulette militaire à l'usine passementerie de la Sarthe (juillet 2013)
Les accessoires sont fignolés et assemblés exclusivement à la main. « En une journée, une personne expérimentée peut confectionner jusqu'à deux épaulettes. C'est un savoir extrêmement précis et singulier. Parfois, des couturières professionnelles n'y arrivent pas. » Alors ici, on apprend sur le tas. Les anciennes transmettent leur savoir aux nouvelles, à l'image de Chantal, qui fait partie de la maison depuis 16 ans.
La fierté de BBA ? Les houppettes des marins
La fierté de BBA, ce sont les houppettes des marins, ces petits pompons rouges
La croyance populaire veut que le pompon avait l'utilité d'amortir les chocs, lorsque les marins se cognaient la tête en circulant dans les batteries et les coursives de faible hauteur sous barrot. Il est sensé amortir les chocs à la tête des marins qui se déplacent, dans les navires, car les plafonds sont très bas.
Histoire qui circule : "L'Impératrice Eugènie était en visite, le 9 Août 1858, sur un navire au port de Brest. Un Matelot, très grand sans doute, en se mettant au garde à vous à son passage se heurta violemment le sommet du crâne au plafond de la coursive. Il saignait et l'Impératrice lui offrit son mouchoir en guise de pansement. Ce mouchoir taché de sang , placé sur sa tête, devint alors, en souvenir de son geste, le pompon rouge du bachi de Marin."Il ne s'agit sans doute en fait que d'une légende, la réalité serait en fait que lors de la confection du bachi, on faisait ressortir les fils qui plus tard ressemblaient à un pompon. D'ailleurs, si cela avait été la véritable raison, tous les marins du monde, confrontées au même problème, auraient adopté une coiffure surmontée d'un pompon, ce qui est loin d'être le cas.
L'entreprise garde jalousement le secret de fabrication et le mécanisme extrêmement étudié du métier à tisser. Car même si plusieurs ont tenté de l'imiter, PERSONNE n'a réussi jusqu'à présent ,à fabriquer des houppettes d'une si bonne qualité
Ce n'est donc pas un hasard si la majorité des accessoires qui ornent les uniformes des militaires viennent tout droit de l'usine de La Chartre-sur-le-Loir. Mais si le principal client de BBA reste l'armée, l'entreprise habille également l'opéra de Paris ou encore des compagnies aériennes ;
fabrique les écussons des sapeurs-pompiers de Paris et
Fourragères de la légion d'honneur
24 commentaires -
Bonjour vous , j'espère que votre weekend fût aussi bon que le mien !!!!!!!!!!!
MARIE ton com m'a fait plaisir mais je ne sais ou te contacter, des fêtes à Céret il y en a encore beaucoup au moins d'août,
J'ai écouté les conseils j'ai ôté mon numéro de tel ;mais dame Marie n'a pas de blog et je ne sais comment l'a contacter !!!
Festival de Flamenco de CERET 2014
du 5 au 10 Août 2014.
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Quelques fontaines dans les rues de Céret
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Au camping municipal de Nogarède.
Ci-dessus la fontaine d'amour
Ci-dessous dans la rue du vieux Céret
à la maison du patrimoine
à coté du lavoir
derrière le musée et surtout devant ma fenêtre de cuisine
A la porte de France
prés de la capelleta
La star de nos fontaines, La fontaine des neufs jets
Devant la maison de Piccasso
Les Costetes
Pas loin de la fontaine d'Amour...
LA DERNIERE INAUGUREE EN NOV 2013
Témoignage de l'œuvre de Picasso
Pensée puis créée par le couple de sculpteurs Juliette et Jacques Damville, cette fontaine devient le témoignage intemporel de l'œuvre picturale de Picasso. "Ici je ressens à cet emplacement la magie des lieux, une imprégnation spirituelle due à sa vitalité présente", disait-il. De facture cubiste la montagne en arrière-plan dresse ses pics bleus en lave émaillée, les serpents aux yeux ouverts, de fer et de feu au corps désarticulé accompagnent le flot d'eau, enserrent de leurs bras la rondeur du bassin. Le socle contient une foule de détails sur Guernica, des colombes, des images flash, ici le minotaure aveugle, là les feuilles de platane en référence au platane centenaire planté là.. En exergue, la reproduction de la Sardane de la Paix signée le 20 septembre 1953 ici, à Céret, symbolisant le combat contre la guerre et la paix sur la planète. Alain Torrent commente : "Les autorisations de la famille ont été longues à obtenir, mais c'est la première place et la première fontaine qui nommées sardane de la paix". Une fontaine contemporaine juste à sa place sur l'espace bien nommé, qui s'inscrit harmonieusement aux pieds des remparts de la porte d'Espagne.
fin
31 commentaires -
Hourra c'est vendredi ,je pars jusqu'à dimanche soir à Montpellier ,Je me suis levée avec la route mouillée ,il a du pleuvoir cette nuit ,rien entendu ,hier j'ai assisté sous le porche du musée ,à de la danse contemporaine sur le Boléro de Ravel ,
c'était super !!! jeudi prochain une autre troupe et cela sera sur la place Picasso, Céret est toujours en mouvement
Montalba-le-Château est une commune de 1590 hectares située en Fenouillèdes, autrement dit en France depuis le XIIIe siècle. La commune se trouve à la frontière avec l'ancienne province du Roussillon (Ille, Rodès). Son territoire, presque entièrement granitique, s'élève au nord-ouest jusqu'à 661 mètres (limite avec Caramany et la forêt de Balderbe), le village se situant pour sa part à 480 mètres d'altitude. La plupart des terres agricoles sont consacrées à la vigne, le reste du territoire étant occupé par des prés souvent humides (mouillères), des landes et des bois de chênes verts. La commune est traversée d'ouest en est par la petite rivière de la Crabayrisse, qui passe ensuite par Bélesta avant de se jeter dans la Teê (la partie illoise de la rivière s'appelle la Riberette). À noter aussi le ruisseau de Bellagre, qui sert de limite avec Rodès.
L'une des caractéristiques du village est l'éloignement entre le château et l'agglomération d'une part, et son ancienne église dédiée à la Vierge d'autre part. Il est probable que la première population se soit fixée d'abord auprès de cette église (ou du moins de celle qui l'a sans doute précédée), ce qui semble confirmé par la présence de vestiges d'habitat préhistorique et historique à proximité de celle-ci. Par la suite, la construction d'un château sur une petite éminence a entraîné la population à venir se protéger à l'abri de ses remparts, un phénomène bien connu pour de nombreux autres villages.
Construite extra-muros, c'est un monument dédié à la Vierge de l'Assomption, édifié sans doute au XIIIe siècle, qui fait un peu la transition entre le roman qui et le gothique. ELLE est apparemment mentionnée dès 1261 (texte évoquant le chapelain de Sainte-Marie de Montalbà). On remarquera notamment son chevet polygonal assez original. L'intérieur, entièrement rénové il y a quelques années, abrite d'intéressants retables, en particulier celui du maître-autel et celui de saint Sébastien, une chaire datant de la fin du XVIIe siècle ou du début du XVIIIe, ainsi que des peintures murales mises à jour lors de la restauration. À noter que la chapelle du château, dédiée à saint Jean l'Évangéliste, a servi aussi d'église paroissiale.
Le village possède une tour de défense du XIIe siècle aménagée en clocher à l'époque moderne. Mais le bâtiment le plus important est le château, qui a conservé une bonne partie de son enceinte polygonale médiévale (XIIe-XIIIe siècles).
Le grand donjon quadrangulaire date sans doute de la même époque, même si on le dit parfois plus ancien. Le reste du bâtiment a été reconstruit aux XVIe et XVIIe siècles, puis restauré au XXe.
Beaucoup de promenades sur les chemins et les petites routes partant du village. C'est l'occasion d'observer les jolis puits voûtés construits çà et là dans les prés, ou encore les cabanes en pierre sèche et les restes de bergeries, et, avec un peu de chance, on peut aussi tomber sur une de ces bornes-frontières qui séparaient autrefois le Roussillon du Fenouillèdes .
Anciennes bornes frontières
Par contre, le prétendu dolmen du Pontet n'est pas un vrai dolmen, mais simplement une curiosité naturelle.
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