• Un weekend réussi, le temps, la foule, tous aux rendez-vous .De plus cette année cette fête avait deux casquettes puisque nous avons accueilli la MAIRE D'ANDORRE la VIEILLE ;l'étape suivante de  CERET

    10 h3 ouverture des étals  

    11 h 30 on coupe le cordon symbolique 

    du départ

    Bernard Thévenet était l'invité surprise j'ai compris pourquoi il y avait tant de coureurs amateurs !!!

    Cadeau offert par la ville de CERET 

    (notre Maire et la Maire d''Andorre )

     

    Effectué par les élèves du lycée Beausoleil

     

    Peint par Melinda

    Je pense que jusqu'au 10 juillet toutes les boutiques seront décorées sur le thème du vélo 

    notre mascotte 

    Mon copain qui me gave de cerises !!!!

    le prix était de 6€le kilo

     

    A mercredi je pars tôt demain ,pour accompagner  la fille d'une amie, qui est partie bien trop tôt  42 ans laissant deux enfants et son époux , sa famille dans la peine !!! MAIS DANS LA VIE il y a ce  sacré cancer .....sans vaccin !!!!

    Bonne semaine, qu'elle soit remplie de pleins de doux moments 


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  • Rien compris  hier  , 

    Les origines de tirelire et sa version ancienne

    Avant de parler des origines des tirelires actuelles, sachez que l’idée de l’épargne est aussi vieille que le monde. En effet, depuis l’existence de la monnaie métallique il y a de cela 700 ans avant J.C., les générations ont toujours voulu l’avoir en permanence. De ce fait, il est devenu coutume de conserver quelques pièces pour l’utiliser au moment opportun. 

    Pour la première fois, l’idée d’épargner dans un objet spécifique est apparue chez les Grecs. A cette époque, ce peuple utilisait des céramiques pour confectionner des temples miniaturisés et ainsi gardé leurs pièces. Plus tard, l’idée a évolué et les objets de conservation ont pris plusieurs formes, notamment celle des animaux. Mais attention, il ne s’agissait pas encore des tirelires actuelles ! Ces coffres difficiles à ouvrir étaient faits en terre cuite et portaient le nom de Thésaurus. 

    Cependant, certaines personnes avaient du mal à bien épargner, car les caisses pouvaient s’ouvrir et se refermer facilement. C’est donc dans l’optique de pallier cela que les Romains ont développé de nouvelles caisses non ouvrables. En gros, il fallait les casser si on souhaitait récupérer ses pièces. Il s’agissait ainsi des premiers ancêtres de la tirelire actuelle. 

    L’évolution de la tirelire après le moyen âge

    Jusqu’au moyen âge, la tirelire n’avait pas une grande popularité, car elle était peu pratique à cause de son poids. Cependant, vers la fin du moyen âge, les modèles en céramique commencent à évoluer et on est passé au métal qui était plus léger. De même, outre le matériau de fabrication, les systèmes de fermeture et les formes se sont améliorés.

    Quelques années plus tard, les améliorations ont continué et on avait désormais des modèles en bois qu’on retrouve encore aujourd’hui et d’autres en cuir. Cependant, l’apogée n’était toujours pas atteint, car les gens accordaient très peu d’importance à ce mode d’épargne. Pour ces personnes, le plus important était de trouver où cacher son argent pour qu’il soit plus en sécurité !

     

    Contrairement aux premiers modèles qui avaient pour but principal de conserver les pièces, les tirelires décoratives servaient également comme pièce de décoration. Et pas que ! En effet, certaines civilisations lui ont ajouté certaines valeurs. Par exemple, elle était alors signe d’abondance et de prospérité. De même, elle permettait d’attirer de l’argent, de conjurer les sorts… 

    La tirelire et son ascension dans le monde  

    Bien que la tirelire connût déjà un grand succès, c’est seulement au 18e siècle que celle-ci connaîtra son âge d’or. En effet, pendant cette période révolutionnaire, beaucoup de choses avaient évolué. Désormais, il était possible de maîtriser le fer ; de décorer le métal ; de changer le bois ; ou encore de transformer l’ivoire. 

    Grâce à toutes ces avancées, la tirelire pouvait alors muter et ainsi plaire à un plus grand nombre de personnes. Contrairement aux anciens modèles qui avaient pour adeptes les personnes de base classe, les modèles fabriqués après 1840 trouvaient des clients dans toutes les classes sociales. Par exemple, on avait la tirelire en ivoire pour les riches, celle en terre pour les moins riches, etc.

    Quant aux formes, elles ont explosé la même période sous l’effet de l’imagination débordante de ses concepteurs. Ainsi, on a eu à voir des modèles carrés ; des modèles cylindriques ; ceux piriformes ; des modèles en forme d’animaux… C’est à ce moment que la tirelire en forme de cochon rose est apparue et a connu un grand succès. Ainsi, elle a été de plus en plus fabriquée et a envahi tous les marchés d’Europe et du monde. Aujourd’hui, il s’agit encore de l’un des modèles les plus choyés du marché

    La tirelire et la forme de cochon : quelle est l’histoire ?

    Comme nous l’avons dit précédemment, le modèle de tirelire cochon est celui qui a connu le plus de succès. En effet, en plus de s’être étendue dans tout le globe, ou presque, il s’est perpétué au fil des générations. Cependant, il n’est pas sorti de nulle part ! En effet, il regorge une histoire assez lointaine qui est revendiquée par deux civilisations. : celle de la Chine antique et celle de la Grande-Bretagne. 

     

    Une origine qui vient de Chine

    Arrivée en Chine, la tirelire a subi de nombreux changements et s’est adapté à la tradition en place. En effet, les Chinois considéraient déjà le cochon comme un symbole de richesse. Pour eux, puisqu’il s’agissait d’un animal de forme ronde et de développement rapide, il était associé à la prospérité et à l’argent. C’est ainsi que la tirelire a évolué dans ce sens afin de cadrer avec les traditions en place. Selon des sources anciennes, la plus vieille trace d’une tirelire avec la forme d’un cochon date entre 960 et 1279 (pendant la dynastie des Song).  

    Une origine qui vient de Grande-Bretagne 

    Une autre culture revendique l’invention de la tirelire en forme de cochon. : il s’agit de l’ancienne culture de Grande-Bretagne. Pour résumé, elle explique que les tirelires portaient autrefois le nom de « pygg » ou « argile » en français. Cependant, ce nom rythmait avec « Pig » qui signifiait cochon. De ce fait, l’appellation a évolué en quelques années pour devenir « pig banc ». Ainsi, les fabricants se sont inspirés de ce nom pour faire les premiers modèles de tirelire cochon. 

    Les tirelires actuelles en fer blanc, en plastique… d’où viennent-elles ?

    Aujourd’hui, les tirelires existent sous plusieurs formes ; en plusieurs couleurs et aussi en plusieurs matières. Cependant, il est difficile et presque impossible de trouver des tirelires en céramique de nos jours. Pourquoi ? C’est ce que nous vous proposons de découvrir dans la suite. 

    Après la PGM (Première Guerre mondiale), il est presque impossible de trouver de la céramique. En effet, le matériau est devenu plus rare du fait de son utilisation massive pendant la période de guerre. C’est pourquoi, les fabricants ont commencé à chercher des nouveaux matériaux et ont essayé plusieurs. Parmi ces derniers, on retrouvait le plastique qui était facilement modulable et le fer blanc. De même, on a observé de nombreux modèles en barbotine (pâte d’argile) et en plâtres peints. Pour d’autres, c’était le métal, le carton ou la fonte émaillée qui était privilégiée.  

    Qui a inventé la tirelire : ce qu’il faut retenir

    Cet article est maintenant terminé ! Désormais, vous savez d’où nous vient cet outil qui nous sert de caisse d’épargne. Ce que vous devez retenir est que les valeurs de cet objet ne sont pas les mêmes partout. Comme pour le cas de la Chine, de nombreuses autres civilisations lui ont attribué des valeurs différentes en fonction de leur propre culture. 

     

    En Europe par exemple, la tirelire est perçue comme un guide pour inculquer l’esprit d’économie aux enfants. De même, on s’en sert comme pièce décorative et veilleuse. En Asie, en plus des valeurs Européennes, elle est vue comme porte bonheur et symbole de richesse. Ailleurs, c’est une simple caisse pour faire des économies sans valeur particulière. 

    JE GARDE DEPUIS LA NAISSANCE DE JALLEN TOUTES LES PIECETTES JAUNES DANS UN GROS POT EN VERRE .Vidé  LA PREMIERE FOIS POUR SES 4 ANS  TOTAL 38€45   LE 12 JUIN POUR SES 8 ANS ON RECOMMENCERA ELLE EST PLEINE VOYONS!!!!

      Sa maman lui mets sur son livret d'épargne   et  lui place aussi vu ce qu'il reçoit pour ses anniversaires , moi je lui en est ouvert un autre ou je lui fais un versement mensuel ;vu mon age je ne pourrai pas le gâter longtemps ,alors je prévois pour ses études !!!! 

     

     

    Bonne fin de semaine, bon weekend, à lundi

     


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  • Désolée en ouvrant mon blog ,j'ai vu que mon billet du jour n'était plus la , vu l'heure  pas le temps  de recommencer  alors  ,en attendant demain , je vous souhaite une excellente journée  

     

     

    On prépare aussi

     

     

    Stèle du souvenir 

    Un jour de janvier 2009, arrive sur le bureau d'Arlette Franco, alors députée maire de Canet, une lettre expédiée par un professeur d'histoire de l'Université de l'État de l'Illinois aux États-Unis. Cet éminent universitaire s'intéresse à la "Villa Saint-Christophe", maison de convalescence qui a accueilli, durant la dernière guerre mondiale, des enfants espagnols et juifs sortis des camps d'internement dont notamment celui de Rivesaltes. Deux sœurs, Simonne Chiroleu-Escudier et Mireille Chiroleu, bien connues à Canet, passionnées de recherches historiques et très attachées à l'histoire de Canet plage, aidées d'Eric Escudier, prennent le bébé en charge. Elles ont assuré la coordination avec les Etats-Unis et la traduction d'un grand nombre de documents, afin que l'histoire émouvante de la "Villa Saint-Christophe" soit aujourd'hui connue du plus grand nombre. Cette histoire se déroule d'avril 1941 à février 1943, mais il n'a pas été possible, hélas, de retrouver dans la mémoire des anciens de la commune, le moindre souvenir de cette maison de convalescence, l'édifice ayant lui même disparu, sacrifié à la gloutonnerie du marché immobilier, et remplacé aujourd'hui par la résidence Le Beaulieu.

    Plus de 200 enfants sortis des camps

     
     

    Pourtant, pendant 22 mois, sous le régime de Vichy et alors que des réfugiés espagnols et juifs de toutes nationalités se trouvaient dans des camps d'internement, une action de sauvetage exceptionnelle était menée par une poignée de travailleurs humanitaires de confession Mennonites (groupe religieux et culturel fondé au XVIe siècle qui a été le premier à adopter le principe de séparation de l'Eglise et de l'Etat). Venus de Suisse et des États-Unis, aidés par des réfugiés espagnols et français, ils ont travaillé en symbiose avec les Quakers, autre communauté religieuse (fondée au XVIIe par des dissidents de l'église anglicane), dans cette villa bourgeoise du front de mer. Plus de 200 enfants, âgés de 3 à 15 ans, ont été sortis des camps, nourris, instruits, durant des séjours allant de 15 jours à plusieurs mois. A partir de 1942, des petits juifs ont été cachés et sauvés de la déportation. Ce sont des recherches en direction des Etats-Unis qui ont permis de retrouver le cheminement et l'action extraordinaire de ces travailleurs humanitaires Mennonites et Quakers et d'avoir accès à des documents extrêmement précieux, photos prises à Canet, listes d'enfants hébergés, description de la vie difficile qu'ont vécue les acteurs de ce drame qu'a été l'internement des enfants durant cette terrible période. Vient de sortir un ouvrage très documenté et abondamment illustré, consacré à ce devoir de mémoire et retraçant l'histoire de cette maison qui, au cœur de la station, a sauvé des centaines d'enfants de la barbarie nazie, "La Villa St Christophe, maison de convalescence pour enfants des camps d'internement" (Alliance Editions à Saint-Estève, prix de l'ouvrage 25 €). A l'occasion de cette parution, une conférence dédicace illustrée par un diaporama que commenteront les auteurs, a eu lieu le 12 avril à 18 h au théâtre Jean-Piat. En vente aussi dans les meilleures librairies du département.

     


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  • On prépare aussi

     

     

     

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    Mais il y a de mauvaises nouvelles 

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