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    photos de la Sanch ,hier à Perpignan

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    la confrérie de la Sanch (précieux sang du seigneur)a été fondée en 1416,en l'église saint-jacques à perpignan,suite à la prédication de saint Vincent ferrier,moine dominicain.Outre l'aspect spirituel,le but de la confrérie était la commémoration de la passion par les processions et l'assistance aux prisonniers,à leurs familles et au condannés à mort avant,pendant et après leur exécution.La coperutxa,(la cagoule),assurait l'anonymat du condamné ce qui lui permettait d'avoir une sépulture chrétienne après l'exécution.les processions avaient lieu autrefois le jeudi saint et le vendredi saint.Les flagellants étaient les plus impressionnants.le dos nu,ils prenaient un soin particulier à se fouetter avec ardeur.ces pratiques,d'une démonstration de foi au XVIIIie un peu véhémente,incitèrent l'autorité religieuse et le conseil souverain du roussillon à limiter progressivement ces processions,réduites dans l'enclos des églises.par la suite,elles furent tout bonnement interdites,car jugées trop baroques et espagnoles au goût des autorités françaises.pendant plus d'un siècle,la confrérie de la Sanch a survécu intra-muros dans l'èglise saint-jacques.ce n'est qu'en 1950,sous l'impulsion de Joseph Deloncle,fondateur du musée de l'histoire de la catalogne nord,

    que les processions reprirent leur itinéraire tout autour du centre-ville de perpignan.En tête du cortège,le régidor,

    La Sanch

    vêtu de rouge,rytme la marche au son de la cloche.suivent les pénitents ou caperutxes,vêtus d'un scapulaire noir ou rouge et les femmes,la tête recouverte d'une mantille portent sur leurs

    La Sanch

    épaules de lourds misteris (représentations peintes et sculptées) au son des goigs (chants religieux).il en est ainsi aujourd'hui chaque vendredi saint,avec près de 600 membres.Plus curieux que réellement impliqués comme les fidèles d'antan,

    La Sanch

    de nombreux spectateurs ressentent,malgré tout,la chaude ferveur de cette manifestation populaire de la foi en catalogne.

    La Sanch

     

     

     

    marmotton66

    au départ de la cathédrale st-jean (perpignan)

    La Sanch

         La Sanch  

    La Sanch 

     


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    Quand l'art peut venir se nicher dans la salle de bains sous la forme de savons "artistiques", je n'hésite pas à vous faire partager ce moment.


    Ils sont sympas...mais vous n'avez encore rien vu.


    Franchement, on doit hésiter à les mettre dans l'eau.


    Se laver avec ça...sacrilége, plutôt rester en son état .


    Celui-là, il ne faut pas y toucher...quel est votre avis ?


    Je dédie les deux derniers qui suivent à toutes les "copinautes".



    Voilà de quoi égayer les salles de bains ... à samedi  ,
    demain la SANCH  j'y vais avec mes amis
    Illustration Procession de la Sanch en cœur de ville.

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  • Mettre un bateau en bouteilleLes premiers bateaux en bouteilles ont semble t-il été réalisés à partir du milieu du 19ème siècle, mais c'est surtout vers la fin de ce même siècle, lors de la vulgarisation de la fabrication des bouteilles en verre blanc que cet artisanat populaire s'est développé. Environ un siècle avant, des bouteilles de la passion du Christ étaient réalisées. C'est certainement la raison pour laquelle des marins ont eu l'idée de construire des maquettes miniatures représentant les voiliers sur lequesl ils naviguaient et de les mettre en bouteille.Ces bateaux étaient fabriqués par les marins pendant les heures de repos dont ils disposaient sur les voiliers où ils étaient embarqués. Ces bateaux étaient destinés bien souvent à leurs familles  ou  servaient de monnaie d’échange lors des escales.



     
     

    Cette activité (devenue depuis un art populaire) prend très peu de place et n’emploie que des matériaux de récupération. Quand ils décidaient de représenter les poulies, les marins récupéraient les perles des couronnes mortuaires ou rarement les fabriquaient en bois. 
    Les poulies sont souvent de couleur noire,mauve, verte ou bleue sur les modèles anciens.
    Les cap-horniers  confectionnaient les bateaux avec les moyens du bord après avoir fixé la coque sur un support, qu'ils plantaient dans les trous du pont  : couteaux,  clous, colle de poisson et de temps en temps de l' os d’albatros ( lorsqu’ils attrapaient cet  oiseau lors de leurs passages au Cap Horn ou bien au Cap de Bonne Espérance. )En général le navire sur lequel ils étaient embarqués servait de modèle. Bien que les conditions de navigation et de travail de ces marins étaient souvent difficiles, de véritables  chefs d’œuvre ont été fabriqués.

    La fabrication des  bateaux en bouteilles  a pratiquement disparue  au milieu du 20ème siècle. Sauf quelques gardiens de phares perpétuaient cet art. C’est la raison pour laquelle les bateaux en bouteilles se font rares. Nous pouvons encore en admirer dans certains  musées maritimes, chez les antiquaires,  ou chez quelques vieilles familles de marins.En France, il a fallu attendre l’année 1976 pour qu’un passionné  publie un livre  sur ce  savoir-faire. Il  s’agit de « Bouteilles et bateaux » de « Max TRUCHI » . Il  existait également à l’étranger quelques livres traitant de ce sujet dans les années 1950.

     Faire entrer par le goulot d'une bouteille un voilier avec ses voiles représente une assez grande difficulté si on n'a pas la manière.

    Fin 1977, Max TRUCHI a fondé avec quelques amis une association. Au cours  du premier trimestre 1978 , déjà 25 adhérents l’avaient rejoint.Lorsqu’il créa cette association, Max n’imaginait pas qu’il ferait rapidement un grand nombre  d’adeptes  provenant du monde entier. Suite à son succès, l’association a été contrainte de nommer des correspondants  dans les pays ayant plusieurs adhérents. Par la suite, ces petits groupes de membres étrangers sont devenus autonomes en créant leur propre association. Pour exemple citons : l’Allemagne, la Grande Bretagne, la Hollande et le Japon.Après 34 ans d’existence, l’association des Bateaux en Bouteilles permet toujours aux passionnés de cet art, de partager leur savoir-faire et, d’échanger leurs techniques de construction. Sachant que les méthodes de construction ont bien évoluées depuis la fin du 19ème siècle

     
    Le voilier est assemblé à l'extérieur, tous les mâts et les haubans sont repliés horizontalement. La coque et son gréement sont introduits dans la bouteille, et déployés à l'intérieur à l'aide d'une ficelle reliée à la mâture.

    Gérard Breillat (association les « Bateaux en bouteille ») présente la façon de mettre la maquette dans une bouteille, selon la tradition des Cap-Horniers. - Bouvresse Lydie 

    Gérard Breillat (association les « Bateaux en bouteille ») présente la façon de mettre la maquette dans une bouteille, selon la tradition des Cap-Horniers

    Voilà une idée pour agrémenter vos week-ends


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  • Il en faut peu pour être heureux, des amis autour de soi, des grillades, du soleil ; une enfant qui joue de la guitare et voilà une belle journée . 

     

     

    Nathalie46 ans, que je connais depuis 1984, maintenant sa fille Victoria 8ans  nouvelle génération,

     

     

    Anne-Marie que je connais depuis 1992 veuve depuis 2001 ; mais qui vient de retrouver le bonheur avec Sergio qui l’eut cru ???

    À  bientôt 71 ans !!!!!! L’AMOUR n’a pas d’âge c’est bien vrai. En tout cas  franche rigolade, merci la vie pour ces moments de partage,

     

     

    Prends le temps d’aimer et d’être aimé,
    c’est un cadeau du ciel.

    Prends le temps de rire,
    c’est la musique de l’âme.

    Prends le temps de partager,
    c’est le secret du bonheur.

    Je vais continuer de vous faire rire avec des lois obsolètes,

    Ovnis non bienvenus, interdiction de mourir… Certaines lois prêtent parfois à sourire et sont pourtant toujours en vigueur. Petit tour d’horizon des lois françaises les plus absurdes. 

     Un texte a priori toujours en vigueur disposerait que "Tout le monde doit avoir une botte de foin chez soi au cas où le roi passerait avec son cheval."

     

    Autre exemple là encore justifié par son contexte. Sous l'empereur Napoléon Bonaparte, il était "formellement interdit à tout propriétaire de porcs d'appeler l'un de ses cochons "Napoléon". 

    Des lois désuètes qui ont amené l'Assemblé nationale à ouvrir un espace sur son site internet permettant aux citoyens de signaler toute disposition devenue obsolète, inutile ou encore redondante.

     

    L'article 132-75 du Code pénal prévoit qu'est assimilé à une arme, "tout objet qui présente une ressemblance de nature à créer une confusion et est utilisé pour menacer de tuer ou de blesser". Si légalement, l'utilisation d'un animal est assimilée à une arme mortelle potentielle, la jurisprudence a également fait évoluer la notion. Ainsi, une poubelle et un cendrier sont également considérés comme tels.

     

     

     

    En 1999, le maire de la commune de Sainte-Gemmes-sur-Loire, près d'Angers a décidé d'accorder, à titre exceptionnel et à chaque Noël, la gratuité des pâtures de l'Ile-aux-Chevaux... pour les rennes du Père Noël." Amusé, le préfet a répondu que "Cette libéralité réservée à un équipage aussi renommé ne suscite aucune observation au titre du contrôle de la légalité." Aujourd'hui, l'arrêté est toujours en vigueur. 

     

    Bon lundi, bonne semaine 


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