-
Par mamiecerise le 31 Mai 2021 à 05:00Il était une fois une fleurJe pense que nous sommes beaucoup à en avoir reçu ce weekend .......Une jeune fille passa...Elle admira la fleur et l'emporta.Quelques jours plus tard, la jolie fleur était morte...Un homme passa aussi, vit une fleur superbe,Remercia la nature de tant de beauté, mais s'abstint de couperLa fleur pour ne pas la tuer...Quelques heures plus tard, malheureusement,L'orage éclata et la fleur mourût...Un enfant passa ensuite et vit une autre fleurBelle mais isolée sur une terre fatiguée.Le gamin décida alors de venir voir la fleur tous les jours.Un jour, il l'arrosa. Un autre jour, il lui porta de la terre bien fertileEt quelques cailloux de couleurs pour faire joli tout autour d'elle...Tous les jours, il vint et lui apporta tous les soins possibles.Un mois plus tard, là où n'existait qu'une fleur isolée,Était né un il était une fois une fleur merveilleux jardin.Comme la distance ne nous permet pas toujours de cultiver notre AmitiéComme nous aimerions pouvoir le faire...J'espère que ce message pourra servir d'un peu d'engrais pour que notreAmitié ne meurt jamais d'un manque de soin.Merci à toi d'exister dans le jardin de ma vie(Si vous avez d'autres astuces pour garder les fleurs n'hésitez pas )
Du vinaigre de cidre pour que les fleurs restent belles encore plus longtemps
Tout le monde aime garder ses fleurs coupées aussi longtemps que possible et il y a plusieurs bonnes méthodes pour y arriver. Une autre façon consiste à mélanger 2 cuillères à soupe de vinaigre de cidre et 2 cuillères à soupe de sucre dans l’eau du vase avant d’ajouter les fleurs. Assurez-vous de changer l’eau (en y ajoutant la même recette, bien sûr) tous les jours pour améliorer la longévité des fleurs.
Les pièces de monnaie en cuivre aident à prolonger la vie des fleurs
Vos bouquets et autres fleurs coupées dureront plus longtemps si vous ajoutez un sou de cuivre et un cube de sucre à l’eau du vase. Le sou de cuivre acidifiera l’eau, ce qui empêchera la croissance des bactéries.
L’aspirine permet la conservation des fleurs coupées
Voici une manière éprouvée et sans faille pour garder les roses et autres fleurs coupées plus fraîches : mettez une aspirine écrasée dans l’eau avant d’y ajouter vos fleurs. Aussi, ne pas oublier de changer l’eau du vase tous les jours.
26 commentaires -
Par mamiecerise le 28 Mai 2021 à 05:00
Il faut chanter pour toutes les Mamans du monde Elles qui nous ont donné bien plus que la vie De nos premières à leurs dernières secondes Pour tant d'Amour on peut leur dire : « Merci... »
“
On peut grandir, et même vieillir, mais pour sa maman on est toujours un petit enfant.
Une mère devient une véritable grand-mère le jour où elle ne remarque plus les erreurs de ses enfants, étant émerveillée par ses petits-enfants.
Une maman qui vous borde au lit laisse un parfum de sommeil.
Une maman, c’est la meilleure des infirmières, au talent de magicienne.
Une maman c’est comme du coton : elle est douce à l’intérieur comme à l’extérieur et nettoie tous les maux.
Dans les souvenirs d’enfance de chaque bon cuisinier se trouve une grande cuisine, une cuisinière en marche, un gâteau qui cuit et une maman.
”
Une mère ne meurt jamais car on lui dira toujours “maman”.
A toutes un excellent weekend je vous retrouve lundi
40 commentaires -
Par mamiecerise le 27 Mai 2021 à 05:00
L’histoire du vitrail
Le vitrail était connu dès l’Antiquité, à Byzance, à Rome, à Ravenne et en Gaule, mais c’est seulement à l’époque romane que la technique de cet art s’est fixée et que son usage s’est répandu. Les premiers vitraux peints proviennent d’Allemagne (de Lorsch, dans la Hesse, et de Magdebourg) et semblent dater du Xe siècle. A peu près à la même époque, il existait des vitraux en Champagne et en Bourgogne.
A partir de l’an 1100, commence une période faste pour le vitrail. Les premiers ateliers s’installent à Chartres. Puis l’abbé Suger dote la basilique Saint-Denis, premier édifice gothique, d’une parure de vitraux. Un moine Rhénan, Théophile, rédige un ouvrage sur l’art du vitrail qui sera le livre de chevet des maîtres-verriers jusqu’à nos jours.
Le vitrail est bien entendu le reflet des connaissances de l’époque : les sujets sont traités avec simplicité, un tracé plutôt byzantin, avec des personnages expressifs, aux silhouettes puissantes, peints sur des verres aux coloris clairs et hardis. Les couleurs sont chargées de symboles : par exemple, le jaune évoque la traîtrise, la fausseté. Quelques personnes représentent une foule, deux buissons une forêt, une main sortant d’un nuage évoque Dieu le Père.
Au XIIIe siècle, avec le développement du style gothique et ses grandes baies vitrées, c’est l’apogée du vitrail (la Sainte-Chapelle à Paris en est l’exemple le plus éblouissant). Dès 1230, la cathédrale de Chartres se pare de ses 173 verrières, soit plus de 2000 m2. On assiste aux premières représentations des donateurs (nobles, souverains, etc.) sous forme de blasons, de scènes d’artisans, plus rarement de portraits
Au XIVe siècle, chlorure et sulfure d’argent sont introduits dans la technique et permettent d’illuminer cheveux, nimbes et ornements divers. Mais les conditions difficiles de ce siècle (guerres, pestes, famines) débouchent sur une simplification de la composition et, dans la décoration, sur une place plus grande accordée aux éléments d’architecture et aux tissus damassés. Avec la guerre de Cent Ans, on assiste aussi à de nombreuses destructions d’édifices. En Bretagne, il existe peu d’œuvres antérieures au XVe siècle.
La technique va poursuivre cependant son évolution : les plombs laminés permettant l’emploi de verres plus minces et de plus grandes dimensions, une nouvelle substance pour peindre sur verre, le Jean Cousin, sorte de sanguine qui traduit bien les carnations de la peau. Fleurs, paysages, animaux, signatures des donateurs, autant de nouveaux éléments qui envahissent les vitraux.
Le XVIe siècle verra le crépuscule du vitrail avec la crise monétaire du milieu du siècle, les guerres de religion. Et ce mépris pour le vitrail se poursuivra dans les deux siècles qui suivront. De plus, près du tiers des verrières anciennes disparaissent dans la tourmente révolutionnaire : le plomb va servir à fondre des balles pour l’armée de la République. Le vitrail souvent porteur d’armoiries apparaît comme symbole de la féodalité. Heureusement, certains vitraux vont être murés à la hâte ou enduits de bouse et de paille échappant ainsi à la destruction.
Au XIXe siècle, à la signature du Concordat en 1801, lorsque les églises sont rendues au culte, on mesure l’ampleur des dégâts. La profession de maître-verrier a disparu du pays. Seules trois couleurs sont alors disponibles en France : le bleu, le jaune et le blanc, les autres sont prélevées sur des vitraux anciens. Il faudra attendre les années 1830 pour voir se mettre en place une véritable industrie du vitrail pour assurer les énormes besoins de restauration et de création. Des maîtres-verriers anglais et hollandais vont fournir leurs secrets et de nouvelles techniques de peinture sur verre apparaissent. C’est également l’époque où le vitrail apparaît dans les édifices publics (restaurants, brasseries, etc.)
Au XXe siècle, la guerre 1914-1918 conduira à de nouvelles destructions et entre les deux guerres apparaît la dalle de verre. Après la Seconde Guerre mondiale souffle un grand renouveau dans l’art sacré et l’on voit surgir de nombreuses œuvres réalisées par des artistes comme Henri Matisse, Georges Rouault, Georges Braque,
Marc Chagall, etc.
23 commentaires -
Par mamiecerise le 26 Mai 2021 à 05:00
Merci pour vos mots de gentillesse, la journée d'hier fut atroce, rentrée avec un mal de tête
un bol de soupe et au lit avec un doliprane
Vendredi dernier , je suis allée voir ce petit musée avec Rose qui ne le connaissais pas
Céret étant la Mecque de l'art moderne , nous avons une foule de galeries et musées
Cet artiste aime l'humour !!!
il faut apprécier l'art moderne
J'avais eu un crosch sur le vase ,mais à 600€
quand même pas !!!!
29 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique