• J'ai passé un excellent weekend  et vous?  température clémente a Ceret , alors qu'à quelque kilomètres le vent allait  bon train !!!

    Aujourd'hui dernières  courses  et les préparatifs commenceront 

    Je profite de cette période de l'année si particulière,
    Pour vous  souhaiter un joyeux Noël.
    Même si l'hiver est un peu austère,
    Il sera composé de moments essentiels.

    Prenez  soin de vous ,
    Prends soin des vôtres.
    Réunissez-vous sous un même toit,
    Les moments joyeux sont faits de petits riens.

    Que ce Noël  vous apporte joie et bonheur,
    Et que la magie de Noël rayonne autour de vous .
    Que ce Noël remplisse vos cœurs,
    D'amour, de tendresse et de joie.

    Une pensée pour ceux qui seront seuls

    Et à tous  ceux  dans la peine 

    Joyeux Noël

     

    JOYEUX NOËL

     

    Je vous laisse jusqu'au 26   , j'espère que le Père Noël sera généreux 


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  • Pardon pour hier  je me croyais encore mercredi , le temps passe trop vite ALORS  !!!

    SUITE DES TRADITIONS     

     

    Du récit de la Nativité dans l’Évangile de Luc aux crèches contemporaines, la tradition de la crèche de Noël a bien évolué… petit concentré d’histoire :

    Les premières représentations de la Nativité On a retrouvé des fresques et des bas-reliefs datant des 3e, 4e et 5e siècles représentants la Nativité. Mais il faut attendre le 12e siècle pour que naisse la nouvelle tradition de la crèche.

     

    Les premières crèches vivantes Selon la légende, Saint-François d’Assise organisa en 1223 la première crèche de Noël avant la messe de minuit. Les scènes étaient jouées par des acteurs (des villageois de Grecchio) et de vrais animaux faisaient partie de l’événement. Les premières crèches étaient donc des crèches vivantes. Les crèches permanentes (et non-vivantes) Puis, tout ce beau monde a été remplacé par des sculptures en bois, en argile, en carton pâte, en porcelaine ou en cire. Il semble que la plus ancienne crèche non-vivante (c’est-à-dire constituée de personnages sculptés) date de 1252. Dressée au monastère franciscain de Füssen en Bavière, elle contenait des personnages en bois. La plus ancienne crèche visible est conservée au musée de la basilique Sainte-Marie-Majeure à Rome. Sculptée en pierre à la demande du pape Nicolas IV, elle daterait de 1288. La tradition des crèches est alors exclusivement exposée dans les églises italiennes, de la Toscane à l’Ombrie, et surtout en Campanie (la région de Naples).



    L’âge d’or des crèches en format réduit

    Jusqu’au 16e siècle, ces crèches ne ressemblaient pas à celles qui nous connaissons : il s’agissait de représentations sur des peintures, des fresques, des bas-reliefs voire des mosaïques. À l’avènement de la Réforme, ces représentations ne furent pas du goût des Protestants. Ils lui préférèrent une autre tradition : le sapin de Noël. Celui-ci se répandit dans toutes les contrées converties au protestantisme, généralement l’Europe du Nord. La tradition de la crèche fut donc abandonnée au profit de l’arbre de Noël. Lors de la Contre-Réforme, les Jésuites utilisèrent la tradition de la crèche comme un outil didactique. Ils diffusèrent un modèle réduit de crèche avec des personnages « indépendants » vêtus de tissus précieux. On la retrouva dans les églises et les couvents (la première documentée date de 1562 à Prague). Puis la crèche fut adoptée dans les maisons des riches familles aristocratiques et nobles d’Italie. La duchesse d’Amalfi semble avoir installé la première crèche à domicile en 1567. L’initiative des Jésuites favorisa donc l’essor de la crèche « domestique », installée dans les maisons des familles croyantes et non plus seulement dans les sanctuaires religieux.

    Pendant la Révolution française, toute pratique religieuse était interdite, y compris les crèches publiques Les familles aisées perpétuèrent la tradition à leur domicile. C’est à cette période que se développa la crèche dite provençale avec ses santons (« petits saints » en provençal). En France, la démocratisation de la crèche de Noël apparue dès la seconde moitié du 19e siècle lorsque les marchands d’objets religieux vendirent des figurines en plâtre peint fabriquées en série. Aujourd’hui, on trouve la crèche de Noël dans les églises, dans les lieux publics (marchés de Noël notamment) et bien sûr, dans les maisons. Une polémique est également en cours pour savoir si la place d’une crèche de Noël est justifiée dans les bâtiments publics (mairies, conseils régional ou général, écoles). Dans les maisons en France, il est courant de la voir installée au pied du sapin de Noël. On y dépose devant elle les cadeaux le soir de Noël.
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    Aujourd’hui, la crèche de Noël est suivie par les pays et régions d’Europe à majorité catholique : France et Italie, mais aussi Espagne, Portugal, Irlande, Pologne, Autriche…L’attitude que l’on a devant une crèche de Noël diffère selon les individus : certains apprécient son aspect décoratif, d’autres se recueillent devant elle à l’église. Dans la plupart des familles, la crèche de Noël est dressée le premier dimanche de l’Avent et retirée entre le 6 janvier et le 2 février.

     

    plus que  1 / 2 / 3 /4

    Et a Lundi 


    SUITE DES TRADITIONS


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    Le houx de Noël est une plante dont les feuilles vertes vernissées sont utilisées pour décorer nos intérieurs à l’approche des fêtes de fin d’année. D’ailleurs, ses deux couleurs (le vert des feuilles et le rouge des baies) font partie des couleurs traditionnelles de Noël. Le houx véhicule de nombreuses traditions et légendes, parfois oubliées et méconnues du grand public…


    La légende du houx et de la Sainte Famille

    Le houx de Noël est cher aux chrétiens pour sa symbolique, mais également parce qu’il est à l’honneur dans une légende impliquant la Sainte Famille fuyant en Égypte. On raconte que, lorsque Joseph, Marie et l’enfant Jésus étaient poursuivis par l’armée d’Hérode, la famille se cacha derrière un houx. À l’approche d’un soldat, l’arbuste étendit ses branches pour les cacher. Une fois sortis de leur cachette, Marie aurait alors béni le houx pour qu’il reste vert pendant toute l’année.Mais aussi jolie que soit l’histoire, elle n’est pas décrite dans l’Évangile et doit donc être prise pour ce qu’elle est : une légende !


    Le houx de Noël :

    superstitions et traditions Les superstitions populaires attribuaient au houx un pouvoir de protection contre la foudre et les sortilèges. La tradition utilise le houx de Noël dans la décoration de l’autel des églises pour la messe de minuit. On le retrouve sur les couronnes de l’Avent, en branches sur nos tables de Noël, mais aussi en décoration sur la bûche de Noël.


     .Bon à savoir sur le houx de Noël !

    Branches de houx de Noël  French Moments Allez, pour terminer quelques données intéressantes sur le mot « houx ». En français, le verbe “houspiller” signifie “disputer”. L’origine latine du mot désigne le fait de « pousser avec un balai de houx ». Une sorte de martinet, quoi ! Quant à Hollywood, la célèbre banlieue plus que glamour de Los Angeles, aux États-Unis, elle désigne une houssière (un endroit où il y pousse beaucoup de houx). Littéralement, il s’agit d’un « bois de houx ». Qui s’y frotte s’y pique !

     

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    Le Gui 

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    La plante sacrée des druides

    Je porte bonheur

    Le gui, que les Grecs associaient à Hermès, dieu messager de l'Olympe et dieu de la santé, était aussi considéré comme une plante sacrée du temps des Gaulois.Les Druides croyaient que cette plante était semée sur le chêne par une main divine et voyaient dans l'union entre leur arbre sacré et ces rameaux toujours verts un symbole d'immortalitéLe sixième jour de l'année celtique, les druides allaient couper le gui en s'exclamant : "O Ghel an Heu", une expression qui signifie littéralement "Que le blé germe !". Cette expression, symbole de renaissance du soleil après le solstice d'hiver, a donné par déformation l’expression "Au gui l'an neuf !".Les druides attribuaient aussi à cette plante des propriétés miraculeuses, notamment celles de guérir certaines maladies, d'immuniser contre les poisons, d’assurer la fertilité des femmes et de protéger les hommes contre la sorcellerie.Par ailleurs, lorsque des ennemis se rencontraient sous une branche de gui dans la forêt, ils devaient déposer les armes et observer une trêve  jusqu'au lendemain. C'est de là que viendrait la coutume de suspendre une boule de gui et d'y échanger un baiser en signe d'amitié et de bienveillance.

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    Une tradition païenne

    Ainsi, le baiser sous le gui porteur de bons auspices est probablement une tradition d'origine celteUne autre explication veut que cette coutume, très répandue chez les anglo-saxons, soit liée à la légende de Freya, déesse de l'amour, de la beauté et de la fécondité. Selon la légende, un homme devait embrasser toute jeune fille qui, sans s'en rendre compte, se trouvait par hasard sous une branche de gui suspendue au plafond.Cette tradition païenne s’est perpétuée, même si l’Eglise tenta de substituer au gui le Houx dont les épines rappellent la couronne du Christ et les boules rouges, son sang.

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    Un symbole de prospérité

    Même si sa signification païenne a été oubliée, la coutume d'échanger un baiser sous le gui est encore vivace en Europe et au Canada. Un baiser échangé par un couple d'amoureux est interprété comme une promesse de mariage, et comme un présage de bonheur et de longue vie. En France, cette coutume est plus particulièrement liée à la Saint sylvestre et au jour de l'An : la branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie est un heureux présage pour franchir le seuil d’une nouvelle année.

    SUR LE MARCHE  7€ LES TROIS PETITES BRANCHES  IDEM POUR LE HOUX  

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