• St Barnabé n'a pas bien bossé, encore quelque gouttes de pluie  hier  !!!

                     Artiste bariolée sur ces pistils,
                     Bastion d'un ciment fertile,
     Editrice de graines colorées,
     Identifie et stimule des saveurs.
     Lape avec ferveur les fleurs.
                          Labeurs de venues et d'allées,
                       Emigre et revient à son mas.
                               Son nectar et miel sucrent nos plats.

    Quel est votre miel préféré ???? 

    Les apiculteurs de toute la terre souffrent depuis La fin du siècle dernier de la perte de la grande partie de leurs ruches. Les abeilles domestiques disparaisse, mais aussi des abeilles sauvages. Les Apiculteurs ont sonnés la sonnette d’alarme en constant la mortalité des abeilles, qui est alarmante pour certaine région du monde. Les scientifiques ont été interpellé par c’est événement et on fait des recherches pour pouvoir trouver des explications.

     

     

     

    Les abeilles meurent de l’activité humaine, des pesticides en particulier, les butineurs sont l’espèce de trop qui en s’éteignant peuvent sonner le glas de l’humanité. Face à la disparition de l’abeille les scientifiques s’inquients des conséquences pour l’homme et la nature.

              

     

     

     


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  • Enfin un weekend  ensoleillé  !!! et chez vous ???

     

    Quand et comment les oeufs sont-ils arrivés dans nos assiettes?

    Chaque Français consomme en moyenne 216 œufs par an, soit plus que la moyenne européenne qui est d’environ 200 œufs ; 97% des Français en mangent. En 2015, les œufs bio représentaient 13% du marché en volume. Les ventes d’œufs issus d’élevages Label Rouge en grandes surfaces représentaient 11% de part de marché en volume, et les œufs d’élevages en plein air 20%. Les œufs standards représentaient la majorité du marché, avec 59% de part de marché en volume.

    Préhistoire : Les oeufs de diverses espèces d'oiseaux sont sans nul doute consommés depuis les temps les plus anciens par les premiers hommes, d’autant que les oeufs de n'importe quelle espèce pondeuse, y compris la tortue et l'alligator, peuvent servir de nourriture. A l'époque des chasseurs cueilleurs, les oeufs de canes, d'oies, de pintades, de pigeons, de cailles, voire d'autruches, de tous les volatiles dont on pouvait piller les nids, étaient ramassés. Gobés, ils nourrissaient quand la viande faisait défaut. Un moyen de parer au manque de protéines animales.
    De même, la période des premières domestications d’oiseaux pour la consommation d’œuf est inconnue.
    Certains écrits historiques indiens racontent comment la poule était déjà domestiquée en 3200 av. J.-C. Des écrits égyptiens et chinois indiquent pour leur part que des poules pondaient des œufs pour l'homme en 1400 av. J.-C.

                                                                 

     

    Antiquité : Les Phéniciens se régalaient des oeufs de l'autruche, tandis que, dans l'Antiquité, les Romains consommaient ceux du paon bleu et les Chinois, ceux du pigeon.
    Bien que le célèbre gastronome romain Apicius, donne dans son ouvrage culinaire diverses recettes de flans et d'omelettes, l'oeuf restera longtemps un aliment marginal. D’abord à cause d'interdits religieux et de croyances superstitieuses, ensuite pour des raisons économiques : en effet, pour le peuple il semblait nettement plus rentable d'attendre que l'oeuf se transforme en poule ou en coq. Faisaient exception à cette règle les Chinois, qui le considéraient comme une excellente source nutritionnelle et en ont répandu l'usage dans tout l'est de l'Asie.

    Moyen Âge : Aucun écrit conservé depuis Moyen Âge en Europe ne mentionne l’œuf. Peut-être parce que, tout comme la viande, il était interdit par l'Église catholique d'en consommer les jours maigres, c'est-à-dire pendant plus de 160 jours par an. Et comme les poules ne suivaient pas le calendrier liturgique, mais celui des saisons et de leur cycle biologique, elles pondaient abondamment durant le carême, période où la lumière du jour est de nouveau abondante. On les conservait alors dans de la graisse liquide ou de la cire jusqu'à Pâques, jour faste par excellence. Ainsi c’est pour améliorer leur apparence qu’on les décorait abondamment.

    La tradition des œufs de Pâques est un emprunt de la chrétienté à des rites païens : par exemple, les Egyptiens considéraient l'œuf, comme symbole de la fertilité, la renaissance, la vie nouvelle. C'est ainsi que l'oeuf en est venu à symboliser la résurrection du Christ. Les oeufs de Pâques étaient à l'origine des oeufs de poule ou de canard décorés de couleurs vives avec des colorants végétaux. Les 17e et 18e siècles ont vu la fabrication de jouets en forme d'oeuf, qui ont été donnés aux enfants à Pâques. Les œufs en chocolat sont apparus en Europe au début du 19ème siècle en France et en Allemagne. Ils étaient faits de chocolat solide, la technique du chocolat moulé n'ayant pas été mis au point.

                                                                

    Milieu du XVe siècle : En Europe, l'oeuf de la poule a graduellement pris le pas sur tous les autres. On pense que les poules utilisées aujourd’hui dans la production des œufs sont les descendantes des poules arrivées en Amérique à bord des navires de Christophe Colomb. Des lignées originaires d'Asie. C'est probablement la fiabilité du chant du coq chaque matin et la régularité avec laquelle la poule pond ses œufs qui ont poussé les Chinois à choisir ces oiseaux horloges vivantes.

    Au milieu du XVIIe siècle, on connaît au moins 60 recettes pour apprêter cet aliment qui figure de plus en plus souvent au menu.

    XVIIIe siècle : On prête à Louis XV qui raffolait d'oeufs à la coque et de meringues d'avoir développer l'aviculture à Versailles, les poulettes étaient installées jusque dans les greniers et fournissaient quotidiennement les coquetiers royaux. Sous le règne de ce roi, les français consommaient 60 oeufs par an et par personne et Menon disait de l'œuf : « c'est un aliment excellent et nourrissant que le sain et le malade, le pauvre et le riche partageaient ensemble. » 

                                                            

              

    Au XVIIIe siècle, la découverte par les Français d'une technique de couvaison artificielle que pratiquent les Égyptiens en ayant recours à des fours à basse température suscitera le plus vif intérêt chez les éleveurs, qui multiplient les croisements.

    Au XIXe siècle, des races de poules nettement plus productives, sélectionnées par les Chinois, feront leur apparition en Occident, créant un véritable émoi chez les éleveurs qui voudront tous posséder quelques-uns de ces « nouveaux » oiseaux, très différents de ceux des races méditerranéennes et européennes connues. Au cours de ce siècle, une centaine d'autres races seront créées, dont certaines que l'on n’élève que pour la chair, d'autres pour les oeufs, d'autres enfin pour les deux usages.

    Le XXIème siècle arrive, avec son cortège de bonnes et mauvaises idées. D'une part, les poules vont et viennent comme elles le souhaitent, pratiquant le jogging avec assiduité et ne picorant que des bonnes choses, du blé, du maïs; elles mènent une vie satisfaisante, et par conséquent pondent des oeufs de qualité. D'autre part, toujours à la recherche de rentabilité et de production maximale, certaines poules sont entassées dans des boxes minuscules maintenus à température idéale et à un degré d'ensoleillement optimal. Le résultat est alors évident : les oeufs sont plus nombreux mais dotés d'une saveur plus grossière, beaucoup moins fine que celle de leurs homologues du "plein air".

                                                                       

     

     

    Jusque dans les années 1980, l’œuf sera considéré comme un aliment parfait. Une popularité qui décroît lorsqu'on découvrira que son jaune est particulièrement riche en cholestérol, accusé d'être la cause de maladies cardiovasculaires. Au cours de cette seule décennie, les ventes d'oeufs frais chuteront de 25 %. La multiplication des épidémies de salmonellose pendant la même période et jusqu’à récemment ajoutera encore à cette fatalité. Il est dès lors déconseillé de manger l'oeuf cru qui figurait jusque-là dans de nombreux plats, notamment dans la mayonnaise. Depuis quelques années, l'oeuf regagne un peu de sa popularité perdue, après que diverses études cliniques aient démontré que, pour la majorité de la population, il constituait un aliment d’excellente qualité.

    En plus des oeufs frais, on trouve aujourd'hui dans le commerce des préparations à base d'oeufs déshydratés, liquides et congelés (albumen seul, jaune seul, oeuf entier, albumen et jaune mélangés selon diverses proportions).

     


                                  

    ET VOUS  VOUS LES CONSOMMEZ  COMMENT ???    

    Moi  ma préférence c'est l'oeuf à la coque  


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  • Un superbe temps  hier, idem ce matin ,  je vais pouvoir aller  flâner sur le marché  !!!!
                                                                                     
    Qui a encore cette fête  dans sa région??? 
    ici je n'en ai pas connaissance 
    La Fête de la Rosière a été instituée par testament de François de Paule Latapie, Secrétaire de Montesquieu, en 1823.
     

               

     

    Sa volonté était de mettre chaque année à l’honneur une jeune fille méritante du village.

     

    Fête comme une autre ? Non, cet événement a de bien curieuses origines. La Rosière est donc un prix remis aujourd'hui, à une jeune femme, qui est récompensée par un titre honorifique pour « bonne conduite », c'est-à-dire rester vierge jusqu'au mariage, être une bonne travailleuse et bien servir son époux. Cette tradition continue de véhiculer les stéréotypes liés au genre, qui doivent faire de la femme l'épouse et la mère idéale.

     

    Mais d'où vient cette tradition ? Au VIe siècle, St Médard serait à l'origine d'une légende devenue réalité. Il a institué comme tradition qu'une jeune fille vierge et vertueuse se voie remettre une couronne et une dot pour devenir ainsi une « Rosière ». La tradition disparaît pendant la révolution puis réapparaît sous Napoléon. Au début du XIXe siècle, la vertu féminine est non seulement érigée en drapeau national, mais la désignée « Rosière » est aussi mariée de force à un soldat méritant d'avoir pourfendu l'ennemi de l'Empire. Après moult batailles, il fallait repeupler la France, et rien de mieux que de créer du symbole. Symbole valorisé autour d'un hommage rendu à la jeune femme vierge, travailleuse, qui pourra aimablement servir son époux et lui permettre d'assurer sa descendance.

    Cette fête d'un autre temps aurait pu joyeusement tomber en désuétude. 

     Encore aujourd'hui, un certain nombre de villes et de villages continuent à perpétuer cette tradition patriarcale. (pas à Ceret)
    Le cérémonial a certes, un peu évolué, mais les symboles restent les mêmes. Ainsi, plusieurs jeunes femmes candidatent et parmi elles, est choisie la plus « méritante ». Souvent issue d'un milieu modeste, ayant des rêves de princesse, elle va être couronnée « Rosière ». Pendant deux à trois jours, elle va être vêtue d'une robe de mariée, évidemment blanche signe de sa pureté virginale et d'un rosier. En prime, elle recevra quelques cadeaux pour l'aider à démarrer dans la vie.

    Non seulement, cette fête perdure, mais elle a été gravée dans le marbre, avec un système de legs. Par exemple, des notables fortunés ont légué leur fortune à la commune, à condition que la tradition de la Rosière continue. L'argent du legs doit assurer la dotation de la jeune femme élue. 

    A QUOI PENSEZ-VOUS ???  Big bises à tous et toutes à lundi  


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  • Une journée entière sans pluie  !!  à priori  tout le weekend sera ensoleillé  ouf!!!

    on va ranger  le parapluie         et sortir  les 

    Restons optimiste hihihihi

    Le tenir dans la main droite face au visage : suivez-moi jeune homme
    Le tenir dans la main gauche face au visage : je désire un entretien
    Le poser contre l'oreille gauche : je désire que vous me laissiez tranquille
    Le glisser sur le front : vous avez changé
    Le faire tournoyer de la main gauche : nous sommes surveillés
    Le tenir dans la main droite : vous êtes trop entreprenant 
    Le faire glisser dans la main : je vous hais 
    Le faire tournoyer de la main droite : j'aime quelqu'un d'autre
    Le faire glisser sur la joue : je vous aime 
    Le présenter  fermé : m'aimez-vous ?
    Le faire glisser devant les yeux : je suis désolée
    Toucher l'extrémité du doigt : je désire vous parler 
    Le poser immobile sur la joue droite : oui 
    Le poser immobile sur la joue gauche : non
    Ouvrir et fermer : vous êtes cruel
    Le laisser pendre : nous resterons amis
    S'éventer lentement : je suis mariée
    S'éventer rapidement : je suis fiancée
    Le poser sur ses lèvres : embrassez-moi 
    Ouvert immobile : attendez-moi
    Le porter ouvert de la main gauche : venez me parler 
    Le placer derrière la tête : ne m'oubliez pas
    Avec l'auriculaire tendu : au revoir
    Read more at http://poudreemasquee.e-monsite.com/pages/historique/le-langage-de-l-eventail.html#qErCT2JfKmHcMdV1.99
    L’éventail traditionnel chinois

     

    Si l’usage de l’éventail est attesté depuis près de 5000 ans dans différentes civilisations antiques, la fabrication traditionnelle des éventails en Chine remonte à la dynastie des Han (206 av. JC – 23 après JC).

    Les premiers éventails chinois étaient en plume. C’est pourquoi la langue chinoise utilise le même caractère pour désigner les plumes et les éventails.
    Le Bambou était également utilisé dès le IIème siècle pour fabriquer les éventails.

    Les éventails pliables, très populaires sous les dynasties Ming (1368-1644) et Qing (1644-1911), sont vraisemblablement apparus au IXème siècle, en provenance du Japon.

    En Chine, les éventails ont été utilisés par toutes les classes sociales. Si les modèles les plus courants étaient faits en feuille de palmier, d’autres témoignent d’une grande compétence artistique. On a ainsi retrouvé des éventails en ivoire utilisés à la cour impériale.

     

    L’éventail en Orient

     

    C’est au Japon que l'éventail plié a été inventé au IXème siècle, avant d’être introduit en Chine par l'intermédiaire de la Corée.
    Les plus grands peintres chinois ou japonais ont utilisé ce support pour leurs œuvres, notamment à l'époque Ming.

    Même si des éventails au goût européen ont été fabriqués en Orient dès le XVIIème siècle, cet accessoire est resté un élément essentiel de l'art de vivre et de la culture.

    Son rôle est fondamental dans le théâtre japonais Nô et dans certains arts martiaux qui utilisent des éventails de guerre ou gunsen.
    Ce type d'éventail doté d’une monture en acier servait à la fois de signe de ralliement et de direction des troupes et de garde et de protection lors de combats au sabre.

    Histoire de l’éventail en Europe

     

     

    L’éventail a été importé en Europe par les Portugais à partir du XVIème siècle.
    Cet accessoire fait fureur en Italie, avant de conquérir toutes les cours européennes.

    Il a été introduit en France par Catherine de Médicis et son usage a d’abord été réservé à l’aristocratie.
    Les éventails étaient alors de véritables objets d’art avec des montures d'ivoire, de nacre ou d'écaille et des tissus comme la soie ou la dentelle.
    L’usage de l’éventail à la cour entraîna la création d’un langage codifié propice au badinage.

                                                                                 

                                                                                         

                                                                               

     

    Le tenir dans la main droite face au visage : suivez-moi jeune homme
    Le tenir dans la main gauche face au visage : je désire un entretien
    Le poser contre l'oreille gauche : je désire que vous me laissiez tranquille
    Le glisser sur le front : vous avez changé
    Le faire tournoyer de la main gauche : nous sommes surveillés
    Le tenir dans la main droite : vous êtes trop entreprenant 
    Le faire glisser dans la main : je vous hais 
    Le faire tournoyer de la main droite : j'aime quelqu'un d'autre
    Le faire glisser sur la joue : je vous aime 
    Le présenter  fermé : m'aimez-vous ?
    Le faire glisser devant les yeux : je suis désolée
    Toucher l'extrémité du doigt : je désire vous parler 
    Le poser immobile sur la joue droite : oui 
    Le poser immobile sur la joue gauche : non
    Ouvrir et fermer : vous êtes cruel
    Le laisser pendre : nous resterons amis
    S'éventer lentement : je suis mariée
    S'éventer rapidement : je suis fiancée
    Le poser sur ses lèvres : embrassez-moi 
    Ouvert immobile : attendez-moi
    Le porter ouvert de la main gauche : venez me parler 
    Le placer derrière la tête : ne m'oubliez pas
    Avec l'auriculaire tendu : au revoir
    Read more at http://poudreemasquee.e-monsite.com/pages/historique/le-langage-de-l-eventail.html#qErCT2JfKmHcMdV1.99

     

    Le tenir dans la main droite face au visage : suivez-moi jeune homme
    Le tenir dans la main gauche face au visage : je désire un entretien
    Le poser contre l'oreille gauche : je désire que vous me laissiez tranquille
    Le glisser sur le front : vous avez changé
    Le faire tournoyer de la main gauche : nous sommes surveillés
    Le tenir dans la main droite : vous êtes trop entreprenant 
    Le faire glisser dans la main : je vous hais 
    Le faire tournoyer de la main droite : j'aime quelqu'un d'autre
    Le faire glisser sur la joue : je vous aime 
    Le présenter  fermé : m'aimez-vous ?
    Le faire glisser devant les yeux : je suis désolée
    Toucher l'extrémité du doigt : je désire vous parler 
    Le poser immobile sur la joue droite : oui 
    Le poser immobile sur la joue gauche : non
    Ouvrir et fermer : vous êtes cruel
    Le laisser pendre : nous resterons amis
    S'éventer lentement : je suis mariée
    S'éventer rapidement : je suis fiancée
    Le poser sur ses lèvres : embrassez-moi 
    Ouvert immobile : attendez-moi
    Le porter ouvert de la main gauche : venez me parler 
    Le placer derrière la tête : ne m'oubliez pas
    Avec l'auriculaire tendu : au revoir
    Read more at http://poudreemasquee.e-monsite.com/pages/historique/le-langage-de-l-eventail.html#qErCT2JfKmHcMdV1.99

     

    S'éventer lentement "Je suis mariée"  
    S'éventer rapidement "Je suis promise"  
    Placer l'éventail sur les lèvres "Embrasse moi"  
    Ouvrir complètement l'éventail "Attends moi"  
    Placer l'éventail derrière la tête "Ne m'oublie pas"  
    Placer l'éventail derrière la tête, doigts tendus "Au revoir, adieu"  
    Placer l'éventail devant le visage avec la main droite "Suis moi"  
    Placer l'éventail devant le visage avec la main gauche "J'aimerais connaitre vos pensées"  
    Maintenir l'éventail sur l'oreille gauche "Je souhaite me défaire de toi"  
    Bouger l'éventail autour du front "Tu as changé"  
    Tourner l'éventail avec la main gauche "On nous voit"  
    Tourner l'éventail avec la main droite "J'en aime un autre"  
    Porter l'éventail ouvert dans la main gauche "Allons parle moi"  
    Porter l'éventail ouvert dans la main droite "Je suis trop fervent"  
    Bouger l'éventail entre les mains "Je te hais"  
    Bouger l'éventail autour de la joue "Je t'aime"  

    Rendre l'éventail fermé                                                   "M'aimes-tu?

     

                                                                                

     

     

     


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