-
COCORICO
Un salon consacré au Made in France s'ouvre ce weekend à Paris. L'occasion de découvrir la dernière entreprise qui fabrique en France des collants et des bas. Il s'agit de la manufacture Gerbe, en Saône-et-Loire. Célèbre pour ses bas depuis plus d'un siècle, elle fait encore aujourd'hui le bonheur des amoureuses de lingerie du monde entier.
A Saint-Vallier (Saône-et-Loire), la longue façade Art déco de la manufacture Gerbe abrite depuis 1904 un savoir-faire unique au monde. L'usine est en effet la dernière en France à produire des collants, et la seule de la planète à fabriquer encore le célèbre « bas couture » qui a tant fait fantasmer. En 2003, l'entreprise est sauvée de la faillite par l'industriel Alain Regad. Celui-ci invite en 2010 le créateur de mode et de chaussures Gaspard Yurkievich à devenir son directeur artistique.
La même machine depuis 1934
Entre le dessin et le lancement de la fabrication, l'équipe de recherche et développement travaille six mois. Traduire le motif en points tricotables pour les 400 aiguilles d'un métier circulaire, régler les diminutions et la tension du fil pour qu'un collant soit confortable dans toutes les tailles, nécessite une mise au point à laquelle collaborent les 60 employées de l'usine, qui testent et notent les prototypes. Pour le bas couture, pas de recherche : ils sont fabriqués depuis l'entre-deux-guerres sur une machine inventée en Angleterre à la fin du XIXe siècle. Celle-ci, en service depuis 1934, pèse 16 tonnes, mais « est fragile comme un bébé », explique Pascal Nowakowski, 51 ans dont trente et un de maison, seul mécanicien capable de la piloter. Chaque matin, il en huile les rouages, surveille son fonctionnement, à l'affût des fils cassés : « Il faut quinze ans d'expérience pour la faire marcher. » En une heure, les 32 têtes réalisent avec 600 aiguilles un voile de nylon d'une finesse extrême. Dans un bas de 20 grammes, plus de 12 kilomètres de fil…
Au contraire des collants, dont les jambes sont tricotées en tube, les bas sortent du métier à plat avant d'être fermés par une couture longeant la jambe. Seule Corinne Commeau, 42 ans, vingt-cinq ans de maison, maîtrise ce geste. Sa machine à coudre, améliorée par Gérard Prieto, directeur de production et « inventeur » maison, est unique, elle aussi. Teinté, formé à la vapeur, chaque bas est ensuite « visité ». Si les bonnetières trouvent un fil tiré, elles le « raccoutrent » avec une molette tournante et le replacent dans le droit chemin. Le bas est enfin emballé, prêt à habiller les jambes et emballer les cœurs.
27 commentaires -
Cette année le soleil fût généreux pour tous , bien sur pour notre vitamine D c'est un bienfait naturel, nous avons pu nous hydrater sans problème mais la terre est asséchée , tous mes amis avec jardin s'en plaignent , ici nous sommes en restriction d'eau !!!! Et vous ? comment se porte votre jardin ?
Lui par contre reste stoïquement incroyable non !!!
L’arbre de la vie est un Prosopis situé dans le désert du Bahreïn isolé de tout signe de vie, pourtant cet arbre est bel et bien vivant depuis 400 ans. Il atteint environ 10 mètres de haut et est situé à 2 kilomètres du Djébel ad Dukhan, le point culminant du pays. Plus de 50.000 touristes visitent l’arbre de la vie chaque année, et jusqu’à aujourd’hui sa source d’eau demeure inconnue.
Les biologistes et scientifiques qui sont venus examiner l’arbre sont restés perplexes. Et malgré plusieurs théories, son existence et sa survie dans le désert sont toujours une énigme. Ainsi, certains pensent que les racines de cet arbre, baptisé Sharajat-al-Hayat, s’étendent très loin mais surtout dans les profondeurs, où des sources d’eau encore inconnues viendraient l’alimenter. Mais jusqu’ici personne n’a pu prouver cette hypothèse.Alors que les habitants du Bahreïn pensent avoir trouvé l’endroit où se situait le jardin d’Eden, les bédouins - nomades de culture arabe vivant dans des régions désertiques du Moyen-Orient - sont convaincus que cet arbre légendaire a été béni par Enki, un dieu de la mythologie sumérienne, associé avant tout à l'eau.Le Sharajat-al-Hayat est l’une des "attractions" les plus célèbres du Bahreïn. Les touristes se bousculent pour admirer ce mystère de la nature. Mais ces dernières années, ces visites, non surveillées, manquent parfois de respect. Arrivés au pied de l’arbre, plusieurs reporters ont été déçus en découvrant que certains visiteurs gravaient leur nom sur le tronc. Pire, des bombes de peinture sont utilisées pour taguer l’arbre. Autre constat : certaines branches, abaissées, laissent penser que plusieurs personnes ont grimpé sur l’arbre... Triste spectacle pour un phénomène de la nature aussi remarquable, qui devrait, au contraire, être préservé.
29 commentaires -
Comme il est bon de retrouver le clavier !!!!
Septembre pour l'instant est encore baigné de soleil , hier 36° idem prévu aujourd'hui gageons que nous aurons une belle arrière saison
ET POURTANT
Automne ,tu nous frôles
L'automne va bientôt arriver
On sent déjà ton odeur se profiler
Les couleurs de l'été presque chassées
Les rayons du soleil ,sont moins gais
Belles saisons tu es aux doux tons orangés
Les jours raccourcissent ,vite la nuit tombée
Toutes les saisons sont belles ,faut juste s'y préparer
Recouvrir nos décolletés et sortir nos gilets
Profitons encore de ces courtes journées
Aux terrasses découvertes,boire notre café
Car elle pointe à l'horizon le bout de son nez
L'automne est à nos portes , il va arriver
30 commentaires -
Je vais à l'école
Comm' un grand garçon.Comment vais -je vivre cette première ??? heureusement la rentrée ce fait en deux jours demain je serai chez mamie ; mais lundi cela sera pour de bon et mamie reprendra le chemin des blogs fini les vacances , bon weekend à tous sous un beau soleil
A TOUS BON MOIS DE SEPTEMBRE
38 commentaires