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Si l'on vous dit qu'il est nécessaire de boire en moyenne 1,5 litre d’eau par jour, vous nous riez au nez en clamant que, pff, vous le savez bien ! Pourtant ce credo qui veut faire la part belle à un corps à 60% composé d’eau, un tiers des Français y échappe en ingérant moins d’1 litre d’eau quotidiennement*. Ce qui n'est pas bon du tout pour la santé. Alors suivez nos dix conseils 100% hydratation pour se porter comme un charme et pas seulement quand il fait chaud... Tous les jours !
On se détoxifie dès le matin
Qui dit détox, dit hydratation au top. Pour éliminer les toxines accumulées au quotidien par le stress et la pollution, il faut boire de l’eau. Alors dès le matin, ronchonne ou pas, on se détoxifie tout en s’hydratant avec une citronnade faite maison (jus d’1 citron à diluer dans un verre d’eau avec ou sans sirop d’érable). À faire à jeun !
On pense à sa santé
Dans la famille des boissons anti-oxydantes (protectrices de l’organisme), il n’y a que l’embarras du choix. Du sirop naturel au thé vert aromatisé, en passant par le jus d’aloe vera ou de coco, elles sont aussi curieuses qu’appétissantes. On goûte, on se fait son top 3, puis on sirote avec satisfaction en se disant «Mmm, ce que je bois est bon pour moi»
On se met l’eau à la bouche
Boire 1,5 L par jour, c’est bien. Mais insuffisant pour compenser les pertes d’eau physiologiques équivalentes à 2 à 2,5 litres d’eau par jour. Surtout si vous faites du sport ou qu'il fait chaud.
Bonne nouvelle, 3 repas par jour suffisent pour compléter cette ration journalière, avec des fruits et des légumes. Alors on s’y tient !Des verres en guise de repères
Plutôt que de compter sa ration en centilitres ou en nombre de bouteilles, on évalue sa consommation d’eau en nombre de verres (taille gobelet). On retient que 1,5L d’eau, c’est : 2 verres à chaque repas, 2 verres dans la matinée, et 2 dans l’après-midi. Et on ne zappe pas le verre d’eau supplémentaire pour chaque demi-heure de sport, de fièvre ou de grosse chaleur.
On se fait plaisir
La valeur hédonique de la boisson est ancrée dans notre culture depuis la nuit des temps. Qu’on se la joue déesse en buvant son nectar, ou comtesse en buvant sa tasse de thé, et on pense à ravir ses papilles deux ou trois fois par jour avec ses boissons préférées.
Tout en ayant bien conscience qu'un soda ne constitue pas à proprement parler une boisson hydratante, mais doit rester exceptionnelle !Dans son sac
Le meilleur réflexe anti déshydratation est de caser dans sa besace une bouteille de secours. L’idéal ? Agir écolo-économique en investissant dans une bouteille d'eau filtrante nomade, à remplir à souhait d’eau du robinet.
La tendance food est à l'hydratation
On mise sur les fruits et légumes à forte teneur en eau, et on les mixe à la fraîche. Cet été, les eaux détox et les smoothies (sans sucre ajouté) à base de concombre ou de feuilles d'épinards, et les soupes type pastèque-menthe envahissent les réseaux sociaux ! Idem pour le gaspacho, la soupe de melon et le jus de tomates. À nos blenders !
On ose les pauses
Même en mode maniaque du taf ou du shopping, on pense à s’arrêter, d’une part pour respirer, d’autre part pour s’hydrater. Un verre de jus frais, un bon smoothie ou un café accompagné d'un verre d'eau, et ça repart !
Même le soir, en boîte
Qu’on se mette minable ou que l’on danse all night long, il faut penser à boire un ou deux verres d’eau (oui d'EAU) par heure. Danser fait transpirer, et l’alcool favorise la miction (l'envie de faire pipi). Il faut donc régulièrement compenser les pertes en s’hydratant, à l’eau préférentiellement.
Y'a pas que la science qui infuse !
Il y a les adeptes de la tisane, et il y a... les résistants ! Mais n’est pas anti-infusion celui qui n’y a jamais goûté. Aujourd’hui, la tisane n’est plus ce qu’elle était. Les saveurs abondent, et il y en a pour tous les goûts. Essayer la tisane du soir en famille ou entre potes, c’est l’adopter. Alors on n’hésite plus, on collectionne les tisanes que l'on déguste chaudes ou fraîches en été. De plus, la tisane ne contenant pas de théine, ne déshydrate pas
Allez servez -vous ,bonne journée bises affectueuses à chacun et chacune
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LE fou rire de Bill Clinton et Boris Eltsine octobre 1995 à New York © corbisUn fou rire est entré dans l’Histoire. Rappelez vous : le fou-rire entre Bill Clinton et Boris Eltsine, le 23 octobre 1995. L’Américain et le Russe, à la tête des deux super-puissances, offraient au monde l’image d’une réconciliation, d’un relâchement des tensions. C’est l’illustration magnifique du rôle du rire comme fonction sociale. Quatre ans seulement après la fin de la guerre froide, entamée en 1947, et qui s’est terminée en 1991 avec la disparition de l’URSS et la fin du pacte de Varsovie.
Le rire : symbole de paix
Bref : que l’on soit au Kremlin ou au bistrot, le caractère contagieux du rire a deux explications : l’acceptation de cette « paix » qui se signe, et le relâchement général que cela engendre. La tension qui pouvait régner se dissipe brusquement, et chacun en prend acte en se joignant au rire. Pour dire les choses moins doctement : il est drôle de voir quelqu’un rire.
Le bâillement : une arme contre la fatigue
Le bâillement a en partie la même caractéristique : qui n’a pas vu les élèves se décrocher la mâchoire à l’unisson, au grand désespoir du professeur ? Ce n’est pourtant pas forcément un mauvais signe. Avant tout, le bâillement a un rôle d’oxygénation : c’est un réflexe, qui redonne de l’énergie à l’organisme, et permet de mieux combattre la fatigue. Mais cela n’explique pas pourquoi le bâillement est contagieux.
C’est pour moi le tweet de l’été ; je vous le lis : « OK, y’a les vacances, y’a le soleil, le rosé, le barbecue… Mais tout cela ne vaut pas se gratter une piqûre de moustique! »
L’action de se gratter est peut-être celle qui procure le plaisir le plus grand par rapport à l'investissement de départ (comparez par exemple avec le ski nautique). Notez bien qu’il n’est pas nécessaire d’avoir des piqures de moustique pour se gratter. Cela se fait de manière tautologique : on se gratte parce que ça nous gratte, en français correct : parce que ça nous démange.
Observez les gens en voiture au feu rouge, en réunion, ou sur un plateau de télé : tout le monde se gratte quelque part. Le nez, l’oreille, la nuque, sans parler des chauves qui se grattent la tete et recoiffent les cheveux qu’ils n’ont pas.Vous pensez que je blague? Pas du tout. Sinon quel intérêt?Agir au lieu de subir
Gil Yosipovitch, dermatologue et neurobiologiste à l'université de Wake Forest, aux Etats-Unis, a expliqué ce phénomène il y a une quinzaine d’années, et sa théorie a été corroborée par les dernières recherches en matière d’imagerie médicale, grâce à des images cerveau en activité. Selon lui, c'est le grattage lui-même qui apporterait du plaisir. Comme si en agissant au lieu de subir, met en œuvre dans notre cerveau des zones liées à des émotions agréables. Pour dire les choses de manière savante : ce geste inhibe les zones qui agissent dans le processus de la douleur, et inversement, il active le cortex pré-frontal, la zone impliquée dans les mécanismes de récompense, donc de plaisir.Le grattage c'est contagieux...?
Il existe sous notre peau plusieurs sortes de récepteurs sensitifs qui transmettent des messages au cerveau. La sensation de démangeaison semble suivre le même réseau de neurones que celui des sensations de douleur. Voilà pourquoi elles sont parfois si désagréables.
Reste un mystère : si vous regardez un documentaire sur les puces, au bout de quelques minutes, vous vous mettez à vous gratter de partout, même si vous n’avez aucun parasite chez vous. Et peut-être même en lisant cette chronique
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J'ai joué à la marmotte ce matin hihihihi il y a des années ou je ne me suis levée à 7 h ,nous avons eu un beau weekend enfin !!! J'espère qu'il en est de même pour vous .Croisons les doigts que le ciel reste clément pour tous !!!!
Jallen arrive tout à l'heure jusqu'à jeudi
Sans colle, ni ciment, l’artiste Michael Grab réussi à donner vie à d’incroyables sculptures qu’il réalise avec des pierres qui ne tiennent ensemble que par un fragile équilibre. Découvrez sa technique qui demande savoir-faire, patience et concentration. Artiste associé au land art, Michael Grab réalise depuis plusieurs années des sculptures éphémères que celui-ci réalise uniquement avec des pierres trouvées au bord des chemins ou encore des rivières.
Un art modeste Voué par définition à ne jamais figurer dans aucun musée du monde, les œuvres de Michael Grab sont aussi fragiles qu’éphémères. Art qui n'a pas vocation à passer l’épreuve du temps, l’art modeste de Michael Grab serait plutôt un art de l’ici et maintenant, dont les seules traces de vie restent les photographies que l’artiste prend de ses sculptures une fois celle-ci réalisées
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Le travail ne coure pas les rues !!!!!!!!!!!!! Alors je cherche pour aider
S’il n’est pas de sots métiers, la série photos de Nancy Rica Schiff montre que certains sont plus drôles que d’autres. L’artiste professionnelle a passé 10 ans de sa vie à voyager à travers le monde pour dénicher et garder une image de ces emplois les plus insolites. En voici quelques uns
Marie Genel / Picturetank GEM0047311
Le chef feutier
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