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    Te regarder grandir, aujourd’hui, tu as 3 ans.

     

    Je ne sais pas vraiment par où commencer ce billet.
    Je pourrais me remémorer les derniers instants de grossesse, le départ pour la maternité, ta naissance, Je n'ai pas quitté ta maman  notre premier contact, les premières larmes qui sur mon visage ont coulé, tant l’amour m’a submergée dès l’instant où nos regards se sont croisés.


    Je pourrais m’asseoir, te prendre sur mes genoux. Passer des heures à t’énumérer les milliers de doux souvenirs qui me viennent à l’esprit lorsque je pense à ces 3 années.

    Je pourrais te chuchoter à l’oreille toutes ces émotions qui bouillonnent en moi ce 12 juin. Si tu y regardais de près, tu pourrais sûrement apercevoir une larme ou deux au coin de mes yeux.

    Mon petit-fils. Mon bébé, mais plus vraiment, aujourd’hui, tu as 3 ans.

    Je t’observe discrètement, mon esprit dissèque chacun de tes gestes, chacune de tes expressions. Il me faut me rendre à l’évidence : tu n’es plus un bébé.
    Cette dernière année t’a transformé. Passer de 2 à 3 ans c’est revêtir très franchement son costume d’enfant. Tu as  grandi, tellement, et ton visage de bébé a laissé place à des traits plus marqué.
    Ton caractère s’est affirmé. Tu es un petit garçon qui sait ce qu’il veut, et aussi ce qu’il ne veut pas. Tout en restant facile à vivre, et plutôt très conciliant.

    Tu t’affranchis de jour en jour, gagnant par ci par là encore un peu plus d’autonomie. Cette volonté de tout faire seul combinée à une soif immense d’apprentissage, me font chaque jour comprendre que tu vas t’envoler petit à petit. Puisqu'à la rentrée l'école  t'attends 

    Mais heureusement, il y a ce lien là. Ce fil invisible mais tellement palpable, qui nous connecte, nous relie. Il y a entre nous une complicité, une fusion que je peine à qualifier tant elle est vive, forte, saisissante. Mon petit- fils. Ces mots résonnent en moi. Dès l’instant où je t’aperçois, où j’entends ton prénom, où je croise tes jouets  dans la maison, intérieurement je vibre, extérieurement je souris et je meurs d’envie de te serrer contre moi.

    Lorsque nous sommes tous les deux, c’est parfois comme si plus rien autour n’existait. Tendresse, douceur, sourire, petites tristesses… Tout partager, comme dans une bulle. Mamie et petit-  fils, rien que ça.
    Moi qui craignais ne pas réussir à trouver de points de complicité avec un garçon, je dois admettre que tu m’as prise à contre pied.

    Est-ce parce que tu es un garçon, est-ce parce que tu es le lien , est-ce parce que ton caractère complète si bien le mien ?

    Je ne sais pas. C’est toi, c’est tout. Mon Mini. Mon grand garçon.

    Tu joues encore bien souvent au petit homme de mamie, tu tentes parfois de prendre cette place qui n’est pas à toi. Tu pleures quand je me fais mal, tu t’inquiètes lorsque tu me vois en difficulté. Tu me demandes 100 fois par jour comment je vais. Tu me jettes des « Mamie  d’amour moi t’aime très fort » à toute heure de la journée. Exactement comme je le fais avec toi.

    « Hey, mon  petit- fils »
    « Quoi !? »

    « Je t’aime ! ».

     

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  • Cela vous changera des crampons  lol   !!!

    Le 12 juin cela fera trois ans que je fais le bonheur de ma mamie 

    Pourquoi les hommes portent-ils des cravates ?

    La mode de la cravate est née au 17e siècle. Pendant la guerre de Trente Ans (qui opposa la plupart des États d’Europe entre 1618 à 1648), les mercenaires croates au service de la France portaient un ruban autour du cou en signe de reconnaissance. Ce ruban devient un accessoire de mode.
    On dit souvent que "cravate" vient de "croate", mais ce mot existait déjà au 14e siècle.

    Louis XIV
    Louis XIV (1643-1715) portant l’une des premières versions de la cravate en 1666

    La cravate remplaça peu à peu les jabots, qui eux-mêmes avaient succédé aux fraises.

    La fraise était une collerette composée de volants de mousseline ou de dentelle, portée par les hommes et les femmes de la seconde moitié du 16e siècle au début du 17e siècle.

    Louis XIII
    Louis XIII (1610-1643) portant une fraise

    Le jabot était un ornement vestimentaire en dentelle ou en mousseline attaché à la base du col d’une chemise, et qui s’étalait sur la poitrine. Il était porté au 17e siècle.

    Louis XIV
    Louis XIV (1643-1715) et sa famille : les hommes portent des jabots

    Le musée de la cravate et du textile à Panissières

    musée de la cravate Panissières

    Le musée est installé dans une ancienne manufacture de linge de table, construite en 1856 et qui a fonctionné  jusqu'en 1984.

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    L'encadrement des fenêtres est en pierre calcaire du Beaujolais dont la couleur jaune permet de mieux refléter la lumière (l'électricité n'arrive qu’en 1920).

    De même, le bâtiment est orienté Est-Ouest pour bénéficier au maximum de la lumière du jour.

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    La maison de maître, à l'arrière de l'usine, regroupe habitation, vestiaire des ouvriers et atelier de finition. Elle jouxte un jardin doté d’un bassin pour la lessive.

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    L'extension de 1903 abrite la chaufferie

    produisant la vapeur pour actionner les métiers à tisser. La cheminée, dont il ne reste que la partie basse, trône au centre de la pièce.

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    En 1991, la municipalité rachète cet ensemble, le rénove et confie à une association la gestion et l'installation du Musée. 

    Chaque année, une nouvelle salle ouvre. Le musée a été reconnu, récemment, comme ensemble remarquable d’un patrimoine industriel Rhône-Alpes. Le nombre d’entrées l’année dernière a même battu le record avec 12 755 visiteurs. Depuis quelques années, plusieurs responsables se sont totalement investis dans ce lieu devenu incontournable : Valentine Girerd, Floriane Berger et actuellement, Julie Desnoyer, toujours prête à innover.

     

    Parmi les projets, les Amis du musée souhaitent réhabiliter et reconquérir le 1er étage et la vieille maison mais aussi participer pour la deuxième fois aux 48 heures de la création.


     

    Nouveau procédé  

     


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  •    Entendu hier   et recherché l'article  , Qu'en pensez -vous ?? 

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    Les assistantes maternelles du secteur de Villefranche-de-Lauragais sont furieuses. La communauté de communes Cap Lauragais (21 communes, 15 000 habitants) a décidé de les assujettir au paiement d'une redevance ordures ménagères (90 €/an, quels que soient l'âge et le nombre des enfants gardés) au titre de leur activité professionnelle. Cette «taxe couches-culottes» passe mal. «Nous avons une activité isolée, à notre domicile, mais nous avons constitué un collectif de 108 nounous, sur 110 possibles. On a beau avoir un boulot précaire, mal payé, nous ne sommes que des assistantes maternelles, mais on ne se laissera pas faire» maugrée Nadège Saffon.

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    Lorsque l’été pointe le bout de son nez et que le mercure commence à grimper il est temps de dire adieu aux plats « lourds » de l’hiver… Et par lourd on entend gras bien évidemment !

    Alors adieu tartiflette, choucroute, raclette, et autres burgers au cheddar et vive les légumes et les bons fruits de l’été ! Vous auriez tort de ne pas en profiter puisque l’été (avec ces températures agréables) est propice à remplir les étals des marchands ! Pourquoi ne pas en profiter pour adopter une alimentation riche et variée à base de légumes et de fruits frais ? 

    Côté sucré :

    Les beaux jours sont arrivés et c’est l’occasion de varier les plaisirs ! Les fruits rouges et autres abricots, nectarines et raisins viennent briser la monotonie des pommes et des poires… Vive l’été !

    Clafoutis pêches et menthe :

    L’été c’est aussi la saison de la menthe ! Mais attention, on ne la retrouve pas exclusivement dans les mojitos, LE cocktail de l’été ! Et oui, pour cette idée de recette originale, on choisit d’associer la saveur de la menthe à un autre fruit phare de l’été : la pêche. Résultat garanti !

     

    Clafoutis à la pêche et à la menthe

    Salade de fruits :

    C’est l’incontournable des desserts de l’été non ? La salade de fruits est souvent la meilleure façon de se faire plaisir sans se soucier des calories. À peu près tous les fruits peuvent se mixer pour un résultat détonant 

    Salade de fruits pêche et fraise 

    Sorbet melon :

    Vous avez dit chaleur ? Sorbet ! Vous pensez à l’été ? Melon ! Et oui il semble bien que le sorbet au melon soit le must-de l’été ! Aussi bonne qu'originale, la glace pourra vous rafraîchir tout en vous procurant un plaisir gourmand… On vous voit déjà vous pavaner devant vos amis avec cette recette 100% naturel. Vous n’auriez pas un peu pris le melon par hasard ?

     

    Sorbet au melon 

    Milk-Shake pêche cerise : 

    Jus, smoothie et milk-shake seront vos alliés pour l’été ! Rafraîchissant et nourrissant, ces boissons glacées seront parfaites pour une petite collation dans la journée. Vous pouvez opter pour à peu près tous les fruits même s’il est préférable de profiter des saveurs de l’été ! Abricot, pêche, fraise, cerise… À vous de jouer !

     

    Milkshake à la cerise 

     

    Côté salé :

    Outre la célébrissime salade tomate-mozzarella, il existe plein de façons différentes de profiter des joies de l’été pour varier notre alimentation. Entre l’abondance de fruits de mer et les barbecues à répétition,

    Taboulé :

    Véritable emblème des soirées d’été, le taboulé fait maison accompagnera parfaitement vos grillades au barbecue. Simple et rapide, cette recette spéciale au jus de tomate et citron vous régalera ! Et pourquoi ne pas y ajouter quelques feuilles de menthe ?

     

    Taboulé au jus de tomate

    La salade sucrée-salée :

    Le melon 
    La pastèque 
    La feta ? Ce fromage de brebis d'origine grecque accompagnera vos fruits pour une petite salade fraîcheur idéale pour l’entrée ! Le mélange des saveurs sucrées-salées surprendra à coups sûrs vos invités… et vous-même !

     

    Salade pastèque, melon et feta 

    Gaspacho tomate et fraise : 

    Ah le gaspacho de tomate… un classique estival. Mais mixé à des fraises ? En voilà une idée originale ! En effet, la fraise viendra combler l’acidité de la tomate et pour enjoliver le tout, vous pouvez disposer une petite brochette du fromage de votre choix (bille de mozzarella, fromage de chèvre en dés) entre deux feuilles de menthe ou de basilic ! Le tour est joué !

     

    Gaspacho de tomate et de fraise

    Lorsque l’été pointe le bout de son nez et que le mercure commence à grimper il est temps de dire adieu aux plats « lourds » de l’hiver… Et par lourd on entend gras bien évidemment !

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    BON     APPÉTIT  

     

    33 commentaires
  • Je sais pas si vous aimez , moi non alors  !!!!

    Que pensez-vous des Fan-Zone ???

    Cela va faire du rififi dans certain couple ...........  Heureusement il fait beau  ,nous pourrons aller faire une balade à la fraîche  hihihihi

    Fête des pères et origine 

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    C’est aux Etats-Unis que naît la célébration de la fête des pères. La jeune Sonora Smart Dodd (1882-1978) était la fille d’un vétéran de la guerre de Sécession, Henry Jackson Smart, veuf depuis de longues années. En 1909, elle entendit parler de l’initiative d’Anna Jarvis, visant à initier une fête des mères, lors d’un sermon prononcé dans une église méthodiste de Spokane, dans l’Etat de Washington. La jeune femme réclame alors une célébration de la paternité, venant en complément de la fête des mères et propose même la date d’anniversaire de son géniteur, le 5 juin. Les pasteurs de la région se saisissent de l’idée, même s’ils décident d’établir la fête au troisième dimanche de juin : la première fête des pères est organisée, à Spokane, le 19 juin 1910.

    Si les réjouissances de Spokane sombrent vite dans l’anonymat, l’idée de fête des pères est lancée. Dans les années 1920, le président américain Calvin Coolidge tente d’en faire une fête officielle, mais se heurte au Congrès. Les parlementaires craignent que ce rappel des vertus paternelles devienne, à l’image de la fête des mères, un barnum commercial. En 1966 que le président Lyndon Johnson reconnaît le rituel dans une proclamation officielle. Six ans plus tard, Richard Nixon signe une loi en faisant une journée de célébration nationale. Le Father’s Day est définitivement fixé au troisième dimanche de juin.

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    La fête des pères a été célébrée pour la première fois en France en 1952. Aussi étonnant que cela puisse paraître, on doit cette arrivée à un fabricant de briquet. L’entreprise Flaminaire, située à Redon, en Bretagne, s’inspire de la célébration américaine et de la manne suscitée par les achats des enfants et des compagnes. Sur ses affiches, on peut alors lire : "Nos papas nous l'ont dit, pour la Fête des pères, ils désirent tous un Flaminaire". Très vite, les entreprises et médias reprennent ce motif, qui répond quelques semaines plus tard à la fête des mères.

    Fête des pères : les cadeaux les plus populaires

    C’est souvent un casse-tête : quel cadeau offrir pour la fête des pères ? Le magazine LSA a publié en juin 2015 un sondage* montrant les préférences des Français en la matière. Les personnes interrogées ont répondu à la question : "Quel cadeau prévoyez-vous d’offrir pour la prochaine fête des pères ?". Les catégories les plus fréquemment citées sont : vin & alcools, livre/film/musique, vêtement/articles de modes, parfums/cosmétiques et restaurant. En 2014, une autre enquête du magazine LSA** donnait quelques indices sur les habitudes de consommation des Français à l’occasion de la fête des pères. 69,9 % des personnes interrogées déclarent qu’elles offriront un cadeau, contre 78,9% pour la fête des mères. Le budget moyen consacré au présent paternel s’élève à 49,98 euros.
    Pour les enfants, le poème pour papa reste un indémodable, qui fera toujours plaisir !

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