En ces périodes de fortes chaleurs, nous avons pensé qu'il serait bon de se rafraîchir en prenant une bonne douche sous les plus grandes chutes d'eau du monde. A travers le monde, les chutes d'eau et les plus belles cascades font le bonheur des photographes et des touristes qui s'émerveillent devant ce sublime spectacle. Elles sont effrayantes, puissantes, spectaculaires ou d'une beauté à couper le souffle. Si certaines chutes comme celles de Victoria ou du Niagara ont une réputation qui n'est plus à faire, vous allez découvrir quels sont ces endroits du monde où peuvent être admirés ces superbes points d’eau. ( rassurez-vous pas tous )

Les chutes de Ban Gioc, à la frontière entre la Chine et le Vietnam

Les chutes de Thur, Suisse

Les chutes de Weeping Rock, Australie

La chute de Cantonigros, Espagne

La côte de Nā Pali, Hawaï

J'ai une pensée pour ceux qui travaillent dans la CAPITALE  

La Rousquille catalane

La rousquille est un biscuit traditionnel catalan. En forme de couronne, la rousquille est saupoudré de sucre glacé, légèrement parfumé à la vanille, au citron ainsi que d'un peu d'anis. Elle est fondante en bouche. Généralement d'un diamètre de 7 à 8cm et d'une épaisseur d'environ 3cm, la rousquille peut prendre la forme d'un huit. "Rousquille" vient du mot catalan "rosca", signifiant couronne en français.

Histoire de la rousquille

Dés le Moyen-Age, la rousquille est présente sur les tables d'Espagne. A l'époque, ce n'est qu'une pâte composé de farine, d'oeuf, huiles et de graines d'anis cuite au four. La première évolution de la rousquille, fut apporté par le cuisinier de la reine d'Espagne, Marie-Barbara du Portugal. Afin de la rendre plus tendre, ce cuisinier rajouta, à la rousquille, de la poudre d'amande. La dernière évolution de la rousquille catalane est du, en 1810, au pâtissier d'Amélie les Bains, Robert Seguela. Il eu l'idée d'ajouté un glaçage de sucre.

Ce biscuit aussi enneigé que le mont Canigou dans les Pyrénées-Orientales est à la fois fondant, croustillant, moelleux et tout doudoux. En bref, laissez une boite de Rousquilles sous mon nez, elle ne fera pas la journée !

La rousquille (ou rosquille) est une spécialité traditionnelle catalane (Roussillon). « Petit » biscuit rond et tendre de 6 à 8 cm de diamètre et 2 à 3 cm d’épaisseur, en forme de couronne, saupoudré de sucre glace, légèrement parfumé à la vanille, au citron avec un peu d’anis et fondant dans la bouche. La petite couronne suave, accompagnée d’un vin doux mûri au soleil (muscat, grenache et autres tuilés…), n’a d’égal que lui-même… La Rousquille s'accorde aussi avec un café, thé, chocolat chaud l'hiver 

Je viens d'écouter les infos, je vois que des orages ont encore fait des  gros dégâts ; nous avons la chance d'être épargné !!!!

Le premier type d’orage  est l’orage unicellulaire. C’est l’orage dans sa plus simple expression, et c’est aussi le plus fréquent. Il est composé d’une seule cellule, c'est-à-dire d’un courant d’air chaud ascendant et d’un courant d’air froid descendant, voyageant à travers l’unique cumulonimbus qui en résulte. Ces orages sont rarement violents. Le plus souvent, ils durent une demi-heure, maximum une heure, avec une activité électrique modérée et des précipitations rarement conséquentes. Il est parfois accompagné d’un coup de vent et d’un peu de grêle. Ce type d’intempéries caractérise les orages de chaleur et de traîne, et se rencontrent en toutes saisons.

Déjà plus puissant, l’orage multicellulaire, qui son nom l’indique, regroupe au sein d’une même structure orageuse plusieurs cellules, certaines d’entre elles peuvent être très intenses. Ces cellules sont à divers stades d’évolution : certaines naissent, d’autres sont à maturité ou meurent. De tels orages peuvent se révéler très violents, avec de la grêle, du vent, de fortes pluies et une intense activité électrique. Ce genre d’orage a une durée de vie allant de une heure à plusieurs heures, et se forment souvent au printemps ou en été, devant ou sur les fronts froids, ou en présence de dépressions thermiques, lorsque l’air est très instable.  

 Au soir d’une journée d’été

D’une ardente chaleur,
Où la ville s’est assoupie et figée,
Dans une indolente torpeur,
Aspirant au long du jour,
Au souffle frais du vent
Qui chasserait alentours
L’air chaud et pesant.

Les éclairs n’ont cessé
De zébrer le ciel,
Ni le tonnerre de gronder,
Se répétant de plus belle
Avant que l’orage n’éclate
Enfin, libérant la pluie
Qui se déverse en hâte
Rafraîchissant la vie.

L’odeur de terre exacerbée
Monte du sol mouillé.
Doucement, la pluie apaise
L’atmosphère de four,
Puis éteint la braise
Des feux du jour