• Hello ,  pourquoi dans les coms ,il y a écrit "répondre"  c'est nouveau chez moi ???merci d'éclairer ma lanterne hihihiihi

    Merci de votre fidélité , de vos messages,et votre amitié

    Aujourd'hui ,matinée chargée 8h30  j'accompagne Anne-Marie au Perthus, les courses et revenir avant 11h30 pour prendre mon bus à 12H 

    Pourquoi dit-on ''ne pas se trouver sous le sabot d'un cheval'' ?

    •    L'expression'' ne pas se trouver sous le sabot d'un cheval'' veut dire qu'une chose est très rare et elle est difficile à trouver. Elle remonte au XVIIème siècle ou elle était connue sous ''dans le pas d'un cheval'' le pas à l'époque voulait dire la trace.

      A l'heure actuelle, la définition de ''pas'' pour trace ne s'emploie plus et n'est plus comprise, elle a donc été remplacée par sabot. Il faut savoir que pour un cheval, on peut utiliser le terme de pieds comme pour l'humain.

      On utilise cette phrase aujourd'hui pour exprimer la rareté d'un objet et on peut l'apparenter au ''merle blanc''.

       

      Pourquoi dit-on ''chercher des noises'' 

      •              
        L'expression ''chercher des noises'' veut dire qu'une personne cherche à se disputer avec une autre. Au XIème siècle noise signifie ''bruit'' et plus tard ''dispute. L'expression prend forme au XVIIème siècle et il est même rajouté ''chercher des noises pour des noisettes'' qui veut dire ''chercher des ennuis pour presque rien''.

        Dans tous les cas, ''chercher des noises'' à quelqu'un est toujours chercher à provoquer une dispute sur la base de choses très futiles. Il faut savoir quand même que le mot noises vient du latin nausea qui signifie ''mal de mer'' et là, aucune explication officielle n'est donnée avec cette origine.
         

        Pourquoi dit-on ''trois pelés et un tondu'' ?

        •              
          L'expression''trois pelés et un tondu'' veut dire que lors d'une réunion, il y a très peu de personnes et que ces dernières ne sont pas très considérées.

          En vieux français, un pelé était un avare ou un miséreux. Le tondu, lui, connaissait cet état car il avait la teigne et avait donc le crâne rasé. Ces personnes étaient donc considérées comme malsaines
          et il fallait les éviter.

          Au XVIème siècle, c'est Rabelais qui utilise l'expression avec ''trois teigneux et un pelé'' et depuis elle est restée dans le langage courant.
           
          • Hier  juste un pipi de chat , mais normalement aujourd'hui 
             
            Je vais  ressortir le
          •  

     


    20 commentaires
  •  
     
     
     
    Petit billet ce matin ,  Morphée m'a gardé près d'elle  hihihihi en plus le ciel est gris  nous devrions avoir de la pluie  !!!!  
    automne
     

    À pas menus, menus, le bel automne est revenu , sans qu'on s'en doute, il est venu par la grand'route habillé d'or et de carmin. et tout le long de son chemin, le vent bondit, les pommes roulent, il pleut des noix, les feuilles croulent. Ne l'avez-vous pas reconnu ?

    balade

    Un retraité de 80 ans construit un petit train pour emmener en balade les chiens abandonnés

    Eugène Bostick peut avoir officiellement pris sa retraite il ya 15 ans, il mène aujourd'hui un tout autre combat.

    Sa nouvelle carrière : conducteur de train pour chiens errants secourus.

    Le natif de Forth Worth, au Texas, n'avait pas franchement prévu de dédier ses plus belles années à aider les animaux dans le besoin. Mais la cruauté des autres en aura décidé autrement.

    L'homme, qui vit avec son frère au fond d'une voie sans issue, dispose d'une grange avec des chevaux.

    L'endroit idéal pour abandonner son chien me direz-vous. Car oui, de temps en temps, Eugène récupère les chiens laissés ici par leur "maître". Alors il les nourrit, et les emmene chez le vétérinaire pour les stériliser ou les castrer.

    Les chevaux ont alors fait un peu de place, pour les chiens. Sauf qu'à 80 ans, l'homme ne peut se permettre de promener tout le monde.

    Comment lui en vouloir ?

    Mais qu'à cela ne tienne. Bien que les chiens aient beaucoup d'espace pour courir et jouer dans la ferme, Eugène, bricoleur et ancien soudeur, a tout bonnement construit un petit train fait de barils en plastique pour emmener ses chiens en balade. Voila

    rose

    POUR VOUS


    19 commentaires
  • Les poupées Bella fabriquées à Perpignan ont amusé de nombreuses petites filles. Dans les années 1970, ce fut l'une des entreprises phare des Pyrénées-Orientales. Aujourd'hui, ces joujoux sont au musée.

    11 Avenue du Languedoc, 66000 Perpignan
    04 68 34 50 66

    Il y a eu Rémy, « le bébé qui riait quand on le lançait en l'air et qui pleurait quand il tombait ». Mais aussi Papouf, « le plus gros bébé du monde ». Suzy, « la première poupée électrique qui marchait ». Sans oublier Tressy et Cathy, les poupées mannequins aux cheveux qui s'allongeaient. Fabriquées dans les Pyrénées-Orientales, les poupées Bella ont émerveillé plusieurs générations de petites filles dans toute l'Europe. On doit leur création au couple Pi.

    6 000 poupées par jour

    Diverses étapes de l' assemblage d' une poupée. 

    Lucie et Salvi Pi décident de lancer leur propre entreprise en 1946. La marque Bella voit ainsi le jour, face à l'entrée de l'hôpital de Perpignan, dans la maison des parents de Lucie. L'entreprise débute avec seulement dix salariés. Rapidement, en 1952, emportée par son succès, la marque catalane est transférée au domaine « Beau Soleil », à l'entrée de Perpignan, dans des locaux plus spacieux.

    Bella emploie alors quelque 600 personnes et produit 6 000 poupons par jour. Une kyrielle de petites mains de la région est aux petits soins des poupées. Des coiffeuses, des couturières, des décoratrices, des piqueuses, des ciseleurs, des fraiseurs… Certains travaillent dans les locaux de l'entreprise. D'autres à domicile.

      

    Monsieur Pi n'a de cesse de d'innover dans la poupée, les bébés… Ainsi, 1965 marque la naissance de la première poupée mannequin : Tressy.

    La vente aux Allemands

    En 1969, les Pi décident de vendre Bella au groupe allemand Bolhen Wasag Industrie, qui possède une branche jouets avec la marque Schildkrot. Durant les deux années qui suivent ce rachat, la marque Bella vacille. En raison de changements brutaux dans le processus de fabrication et de problèmes sociaux.

    Jean Sala est appelé à reprendre la direction de l'usine en 1972. Il y restera jusqu'en 1981. Employé de la première heure, il avait été engagé comme comptable par le couple Pi en 1948.

        

    Jusqu'au début des années quatre-vingt, la société Bella, en plein essor, compte désormais 1 000 employés. Et sa production grimpe. « Jusqu'à 2,2 millions de poupées sortaient chaque année de la chaîne. On était l'entreprise de poupées la plus importante d'Europe », se flatte M. Sala. Puis le rêve se brisa.

    5 minis Berchet de 20 cm avec un corps mou 

    Le 18 décembre 1981, Bella dépose le bilan. Le groupe Berchet la reprend en sauvegardant 300 emplois sur les 1 000. Mais trois ans plus tard, l'entreprise est liquidée. Bella disparaît des rayons des grands magasins. Déstabilisée par des troubles sociaux. Détrônée par une autre vedette à la taille de guêpe : la Barbie.


    22 commentaires
  • Bon anniversaire papa , eh oui  fiston 29 ans !!!

    L’origine des croissants et du café au lait

    La coutume qui consiste à servir du café au lait et des croissants au petit déjeuner vient d’Autriche.
    Au 17e siècle, les Turcs assiègent la ville de Vienne. Les habitants parviennent à repousser les envahisseurs, qui fuient en abandonnant derrière eux des stocks de café.
    Des Viennois récupèrent ces sacs de café et ouvrent à Vienne le premier "café" de l’histoire. Pour rendre la boisson moins amère, ils ont l’idée de la mélanger avec du lait. La légende raconte que pour célébrer la victoire, ils accompagnent le café de petites brioches en forme de croissant, symbole de l’Empire ottoman. Depuis, on appelle ces pâtisseries des "viennoiseries

    La bague de fiançailles en diamant a été lancée par la publicité

    La coutume d’offrir un diamant en fiançailles est récente. L’un des premiers exemples connus date de 1477, quand l’Archiduc Maximilien d’Autriche offrit une bague de fiançailles en diamant à Marie de Bourgogne. Mais la tradition ne s’est démocratisée qu’à la fin du 19e siècle, avec la découverte de mines en Afrique du Sud et la baisse du prix des diamants.

    Dans les années 30, la société sud-africaine De Beers (fondée en 1888) eut l’idée de lancer une grande campagne de marketing pour promouvoir le diamant. De Beers prêta des bijoux à des actrices pour leurs apparitions publiques, et réussit à placer ses produits dans des films d’amour hollywoodiens. Entre 1938 et 1941, les ventes de diamants augmentèrent de 55 % aux États-Unis.

    En 1947, De Beers lança son fameux slogan "a diamond is forever" (un diamant est éternel). Ce slogan, reprit par Ian Fleming en 1956 dans son roman de James Bond "Diamonds Are Forever", est l’un des plus célèbres de l’histoire du marketing. Aujourd’hui connu par 90 % des Américains, il contribua à forger l’image du diamant auprès du grand public, et l’idée qu’aucune autre pierre ne pouvait le remplacer.

    En 2005, 80 % des femmes américaines avaient une bague de fiançailles en diamant.

    Pourquoi y a-t-il 52 cartes dans un jeu de 52 cartes ?

    Le jeu de 52 cartes est basé sur l’ancien calendrier lunaire égyptien : les 13 cartes de chacune des quatre couleurs désignent les 13 mois lunaires, et les 52 cartes représentent les 52 semaines de l’année.

    Les 4 semaines de chaque mois étaient associées à l’un des 4 éléments (eau, terre, air et feu), ce qui a donné les 4 couleurs du jeu de cartes (pique, cœur, carreau et trèfle).

    Source : "History and origin of playing cards" - Samuel Zovello, 1935

    Jeu de 52 cartes

     

    A lundi  big bisous  à tous 


    30 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires